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mots elle m’étend les jambes écartées, et se couchant sur le lit à plat-ventre, sa tête entre mes cuisses, elle me gamahuche pendant qu’offrant à ma compagne les plus belles fesses qu’il soit possible de voir, elle reçoit des doigts de cette jolie petite fille, les mêmes services que sa langue me rend. Euphrosine instruite de ce qui convenait à Delbène entre-mêlait ses pollutions de vigoureuses claques sur le derrière, dont l’effet me parut certain sur le physique de notre aimable institutrice ; vivement électrisée par le libertinage, la putain dévorait le foutre qu’elle faisait à chaque instant jaillir de mon petit con. Quelquefois elle s’interrompait pour me regarder… pour m’observer dans le plaisir. Qu’elle est belle, s’écriait la tribade !… Oh sacredieu qu’elle est intéressante ; secoue-moi, Euphrosine, branle-moi, mon amour, je veux mourir enivrée de son foutre ! Changeons, varions tout cela, s’écriait-elle le moment d’après, chère Euphrosine ; tu dois m’en vouloir ; je ne pense pas à te rendre tous les plaisirs que tu me donnes… Attendez, mes petits anges, je vais vous branler tous les deux à-la-fois. Elle nous place sur le lit, à côté l’une de l’autre