Aller au contenu

Page:Sade - La nouvelle Justine, ou les malheurs de la vertu, suivie de L'histoire de Juliette, sa soeur, tome 5, 1797.djvu/304

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

nouement : à mon cul seul en est réservé l’honneur : la vieille me place dans l’attitude exigée pour la sodomie ; Mondor, aidé, conduit par sa gouvernante, se plonge à l’instant au temple des plus doux plaisirs de cette passion : mais tout n’était pas dit. J’étais ratée sans l’épisode crapuleuse dont Mondor couronnait son extase. Il fallait, pendant que le paillard m’enculait, 1°. que sa gouvernante, armée d’un immense godmiché lui rendit le même service ; 2°. qu’une des filles, agenouillée sous moi, excitât beaucoup de bruit dans mon con en le branlant avec sa langue ; 3°. qu’un beau cul s’offrît à chacune de ses mains ; 4°. enfin, que les deux filles qui, restaient élevées à califourchon, la première sur mes reins, la seconde sur les reins de celle-ci, en chiant toutes deux à la fois, inondassent de merde, l’une la bouche du paillard, l’autre son front ; mais chacune, tour à tour, remplit ces deux derniers rôles : toutes chièrent, même la vieille ; toutes me branlèrent, toutes enculèrent Mondor, qui, cédant aux titillations de plaisir dont nous l’enivrions, darde enfin au fond de mon anus les déplorables jets de sa défaillante luxure.