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devant elle ; Clairwil lui appuya le con sur le visage, en frottant, de routes ses forces, les lèvres de son vagin, et son clitoris sur le nez, la bouche et les yeux de cette fille, à qui elle recommanda de le lècher. Une fille postée à droite, l’autre à gauche, étrillaient vigoureusement mon amie qui, tenant une poignée de verges de chaque main, se vengeait sur les deux culs des coups qu’elle recevait ; à cheval sur le crâne de celle qui léchait le con, je lui présentais le mien à sucer ; ici la putain déchargea, mais avec des cris, des convulsions et des blasphêmes, qui caractérisaient l’un des délires les plus lubriques, et les plus luxurieux que j’eusse encore observé de mes jours ; la jolie figure contre laquelle s’était escrimée la tribade, était inondée de foutre. Allons, sacredieu, faisons autre chose, s’écria-t-elle, sans se donner le tems de respirer, jamais je ne me repose quand mon sperme est en train de couler ; travaillez-moi, putains, secouez-moi, sucez-moi, fouettez-moi, branlez-moi de la plus forte manière ; la fille de dix-huit ans se couche sur l’ottomane, je m’assieds sur son visage, Clairwil se campe sur le mien, j’étais sucée, je le rendais ; élevée