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Page:Sade - La nouvelle Justine, ou les malheurs de la vertu, suivie de L'histoire de Juliette, sa soeur, tome 6, 1797.djvu/199

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tôt, inondé des preuves bien certaines de l’agitation luxurieuse dans laquelle je suis. Que j’aime à voir en toi de pareils effets, me dit le ministre, et combien ils me prouvent à quel point tu partages ma façon de penser ! Attends, il faut que je pompe le foutre que je fais couler ; et sa bouche se colant sur mon con, le vilain le suce un quart-d’heure : il me retourne ; ah ! dit-il, voilà celui que j’aime à baiser de préférence… le beau trou… Friponne, je vois bien qu’on t’a sodomisée. Il ne cessait de baiser mon cul pendant tout ce tems ; il se déculotte, il m’expose le sien… je le gamahuche. Ah ! coquine, quel plaisir tu me fais, me dit-il, en vérité je crois que tu aimes mon cul… tiens, voit mon vit, il commence à bander, suce-le ; conseille-moi donc quelques extravagances, je veux en mêler dans ce que nous ferons. C’est aux grelots de la folie à sonner les heures de Vénus, Il fait chaud, lui dis-je, je voudrais que tu t’habillasses en sauvage, que les bras, les cuisses, les fesses et le vit fussent à découvert ; tu te mettrais sur la tête une coëffure de serpent, ton visage serait barbouillé de rouge ; nous t’adapterions des moustaches, un large baudrier