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Page:Sade - La nouvelle Justine, ou les malheurs de la vertu, suivie de L'histoire de Juliette, sa soeur, tome 6, 1797.djvu/374

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Le jeune Rose nous attendait ; nous nous couchâmes près de lui. Saint-Fond le couvrit des caresses les plus luxurieuses ; nous le branlâmes, nous le suçâmes, nous le gamahuchâmes, et comme l’imagination agissait fortement, Saint-Fond eut bientôt foutu le bardache ; je lui branlais le trou du cul avec la langue, et tout énervé qu’il était, sa décharge fut pourtant des plus longues et des plus copieuses. Il exigea de moi de me la faire rendre dans la bouche ; ce libertinage me plaisait excessivement, je souscrivis à tout : il fallut ensuite que le jeune Rose m’encula, pendant qu’il le foutait une seconde fois, et puis Saint-Fond me traita de même, en gamahuchant le cul du jeune homme, que nous finîmes par épuiser, à force de le faire décharger ou dans nos ou dans nos culs. Vers la pointe du jour, Saint-Fond, dégoûté sans être satisfait, m’ordonna de lui tenir l’enfant, et il lui déchira les fesses à coups de martinets, ensuite il le battit, et le molesta cruellement. Sur les onze heures le chocolat se servit ; j’eus soin, par les ordres du ministre, de jeter ce qui devait assurer l’héritage à mon amant ; et lui par un insigne