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que le pauvre homme établissait chez lui. La proposition de partager le butin et de jouir des six enfans, récréa tellement le renfort, que nous nous mîmes sur-le-champ à l’ouvrage. Nous liâmes le pauvre seigneur à un pilier de son salon, et là, nous le régalâmes d’abord de cinq cents coups de fouet bien appliqués sur toutes ses parties du derrière, ensuite du plaisir de voir foutre ses six enfans devant lui. Dès qu’ils le furent, nous les attachâmes autour de lui, et fustigeâmes ces six culs jusqu’à ce que le sang inondât la chambre ; nous les fîmes ensuite coucher à terre sur le dos, et relevant leurs jambes en l’air, nous les écorchions à coups de martinets sur toutes les parties antérieures. Nous voulûmes ensuite obliger le père à jouir lui-même de tous ses enfans ; mais comme il devint, malgré nos efforts, impossible de le faire bander, nous le châtrâmes, et fîmes avaler par force son vit et ses couilles à sa progéniture ; nous coupâmes ensuite les tétons de ses filles, et le contraignîmes à son tour d’avaler les chairs qu’il avait lui-même créées, toutes palpitantes encore. Nous allions poursuivre, lorsque la discorde vint malheureusement secouer ses flambeaux sur nous. Il y avait parmi les