Page:Sade - La nouvelle Justine, ou les malheurs de la vertu, suivie de L'histoire de Juliette, sa soeur, tome 9, 1797.djvu/212

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au con de ma fille, en baisant les fesses de ma femme : tiens, dis-je à la protégée de Calni, tiens, reçois au fond de tes entrailles le foutre qui t’a donné la vie ; mais toujours infidèle, c’est Clotilde que j’enconne à présent ; elle obtient encore une fois du foutre, en mordant cette fois le cul de ma fille, aussi violemment que je viens de lui déchirer les tetons : ménage-toi, Carle-Son, dis-je en me retirant, il faut que tu sodomises ces deux putains, je vais te les tenir l’une et l’autre ; mon valet encule, je lui lèche les couilles, j’adorais ce beau garçon, je reviens pomper sa bouche, pendant qu’il décharge dans le derrière de ma femme ; ma fille est promptement traitée de même. Je le fouts pendant qu’il lime l’anus de cette infortunée ; allons, dis-je, dès qu’il a fini, divertissons-nous maintenant de nos victimes ; et faisant tenir mon ami tout droit, j’exige de ces deux putains de le lécher sur toutes les parties du corps, sans oublier le vit, le trou du cul et les entre-deux des doigts des pieds, ainsi que les aisselles ; je le fais chier sur un buisson d’épines et je contrains ces femmes à aller dévorer là sa merde, en s’écorchant tout le visage ; nous les enlevons ensuite par les