Page:Sade - La nouvelle Justine, ou les malheurs de la vertu, suivie de L'histoire de Juliette, sa soeur, tome 9, 1797.djvu/224

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

son, répondit Clairwil. Carle-Son, la société vous permet de foutre Juliette ; mais il faut que cela soit sous ses yeux. — Mais que diront ma femme et mes enfans ? Ma foi, tout ce qu’ils voudront, dis-je en entraînant Carle-Son avec moi sur un canapé, tous les saints du paradis seraient là, mon cher, que je n’en foutrais pas moins avec toi ; et sortant son monstrueux engin de la culotte : pardon, madame, dis-je à Rosine, si je vous dérobe des plaisirs qui ne devraient appartenir qu’à vous ; mais, sacredieu, il y a trop long-tems que je bande pour votre mari ; puisque je le tiens, il faut qu’il y passe ; et j’avais à peine achevé ces mots, que le terrible vit de Carle-Son était au fond de ma matrice. Voyez, dit le capitaine, en rabaissant sa culotte, si j’ai eu tort de vous dire que mon ami avait le plus beau cul du monde ; et le bougre l’encule en disant cela, pendant que Clairwil vient me baiser la bouche, en me branlant le clitoris, et qu’Olimpe m’enfonce trois doigts dans le cul. Capitaine, dit Sbrigani qui bandait à ce spectacle, voulez-vous que je vous encule ; vous voyez, je me flatte, un vit très-en état de vous satisfaire. Foutez, monsieur, foutez ;