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celui de tous, que nous employâmes le plus, fut de recevoir, à la fois, trois vits, deux dans le con, un dans le cul. On n’imagine pas, avec des fouteurs adroits, le plaisir que donne cette jouissance ; quelquefois tout se réunissaient sur une seule femme. Je soutins trois fois ainsi le poids général. J’étois couchée sur un homme qui m’enculait ; Elise, à cheval sur mon visage, me donnait son joli petit con à sucer ; un homme l’enculait sur moi, en me branlant le con ; et Raimonde branlait le trou du cul de cet homme avec sa langue. Sous mes deux mains, étaient à quatre pattes, Olimpe d’un côté, Clairwil de l’autre : j’introduisais un vit dans chacun de leurs culs, et elles suçaient, chacune, les vits du cinquième et du sixième homme. Enfin, les six valets, après avoir déchargé chacun huit fois, furent reçus sans difficulté. Il étoit impossible de refuser après de pareilles épreuves.

Environ huit jours après cette aventure, nous reçûmes une nouvelle invitation de Ferdinand, qui nous engageait de venir toutes trois le voir à Portici. Il paraissait que le roi avait voulu mettre à cette scène-ci, infiniment plus de soins et d’éclat que dans l’autre. Nous fûmes reçues dans des cabinets