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coups de son cruel instrument. On n’imagine pas à quel point cette mégère portait le calme au sein de la cruauté. Elle accourait, à chaque dixaine, saisir avec joie sur mon visage, les impressions de douleur auxquelles les coups nerveux qu’elle m’appliquait, contraignaient nécessairement mes muscles ; s’établissant, ensuite vis-à-vis de moi, elle chargea ses trois tribades de me fouetter aussi fortement qu’elle venait de le faire, et se branla pendant l’expédition. Un moment, dit-elle, quand j’eus reçu près de deux cents coups ; je vais me couler sous lui, afin de le sucer pendant que vous le refouetterez ; arrangez-vous de manière à ce que l’une de vous puisse me rendre cette succion sur le clitoris, et que j’en branle une autre ; pendant ce tems-là tout s’exécute… et, je l’avoue, violemment excité par les coups que je recevais, délicieusement sucé par Sophie, je ne fus pas plus de trois minutes à lui remplir la bouche de foutre ; elle l’avala : puis se retirant aussitôt, Emma, s’écria-t-elle, il est charmant, il a déchargé, il faut que je le foute à présent… On lui arrange un godmiché, et voilà la putain dans mon cul gamahuchant deux de ses tribades,