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pendant que la troisième lui rend dans le con, ce que la coquine me fait dans le cul.

Qu’on le détache, dit-elle, quand elle est excédée ; venez me baiser Borchamps, poursuit la Messaline ; venez me rendre grace, et des plaisirs dont je vous ai comblé et des ménagemens que j’ai eu pour vous. Mon doux enfant, poursuit la Messaline, tout ce qui vient de se passer n’est dû qu’à votre puérile modestie ; comment vous couchez, je ne sais combien de fois avec moi, et vous contentant de m’enconner, comme un imbécille, vous n’avez pas même l’air de soupçonner mon cul… en vérité, c’est inconcevable. — Ce desir fut senti de moi, madame ; mais la timidité l’enchaîna. — Tant-pis… tant-pis ; la modestie est une sottise dont vous devez vous corriger à votre âge… Eh bien, réparerez-vous cette sottise, et mon cul, à présent, vous occupera-t-il un peu plus que mon con ; puis le montrant… voyez comme il est beau ce cul, il vous appelle… foutez-le donc, Borchamps… prends-lui donc le vit, Emma, et mets le dans mon cul. Mille baisers, plus ardens les uns que les autres, sur ce cul vraiment superbe, furent ma réponse ; et