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mon engin, braqué sur le trou mignon, par Emma, sut bientôt convaincre Sophie, que je brûlais de réparer mes torts. Arrête, me dit la princesse ; c’est moi qui maintenant veux être ton esclave : je vais me placer dans la triste machine dont tu sors, et j’y veux, à mon tour, devenir ta victime ; use de tes droits, sultan, et venge-toi sur-tout… (Elle était prise)… Ne me ménage pas, je t’en conjure ; punis à la fois mon putanisme et ma cruauté… Bougresse ! m’écriai-je, en devinant ses goûts, je vais le faire à grands coups de fouet ; je l’espère bien, me dit-elle… Tâte avant la peau de mes fesses, tu verras comme elle appelle le coup… Eh bien, qu’elle le reçoive donc, dis-je, en l’appliquant, et je l’étrillai d’importance, pendant que la belle Emma me suçait, à genoux, et que les deux filles de quinze ans s’occupaient de mon cul. Dès que celui de Sophie fut en sang, mon engin furieux, lui pénétrant l’anus, la consola de ma barbarie, Oh ! foutre, s’écria-t’elle alors, qu’il est délicieux d’être enculée, quand on vient de recevoir le fouet ; je ne connais rien qui se marie mieux que ces deux plaisirs. Emma s’avance alors près