Page:Sade - Les 120 Journées de Sodome, éd. Dühren, 1904.djvu/169

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appuyer sur le dos d’une chaise et ordonna à la Desgranges de le branler sur les fesses de sa camarade de manière à ce que la tête de son vit effleura le trou du cul de la Duclos à chaque secousse, on joignit à cela quelques autres épisodes que l’ordre des matières ne me permet pas encore de dévoiler, tant y a. Le trou du cul de l’historienne fut complètement arrosé, et111) le duc très bien servi et très complètement entouré déchargea avec des hurlements qui prouvèrent bien à quel point était échauffée sa tête. Curval se fit foutre, l’évêque et Durcet firent de leur côté, avec les 2 sexes, des choses très étrangères, et l’on servit.112) Après soupé on dansa ; les 16 jeunes personnes, quatre fouteurs et les quatre épouses purent former trois contre-danses, mais tous les acteurs de ce bal étaient nus, et nos libertins, couchés nonchalamment sur des sophas, s’amusaient délicieusement, de toutes les différentes beautés que leur offraient tous à tous les diverses attitudes que la danse obligeait de prendre, ils avaient auprès d’eux les historiennes qui les manualisaient, plus ou moins vite en raison du plus ou moins de plaisir qu’ils prenaient, mais épuisé des voluptés du jour, personne ne déchargea et chacun fut prendre au lit les forces nécessaires à se livrer le lendemain à de nouvelles infamies.


Cinquième journée.


Ce fut Curval, qui ce matin-là fut se prêter aux masturbations de l’école, et comme les jeunes filles commençaient à faire des progrès, il eut beaucoup de peine à résister aux secousses multipliées, aux postures