Page:Sade - Les 120 Journées de Sodome, éd. Dühren, 1904.djvu/379

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l’opération sur un étron tout chaud, que je venais de lui faire. Puis à l’instant où ce „foutre“ de convention m’apprenait l’approche de sa crise, il fallait pour la déterminer que je lui dardasse dans chaque fesse un coup de ciseaux, qui le fit saigner, il avait le cul couvert de ces plaies, et à peine pus-je trouver un endroit intact, pour y faire mes deux blessures, à cet instant son nez se plongeait dans la merde, il s’en barbouillait tout le visage et des flots de sperme couronnaient son extase. — [124]Un quatrième me mettait le vit dans la bouche et m’ordonnait de le lui mordre de toutes mes forces, pendant ce temps-là je lui déchirais les deux fesses avec un peigne de fer à dents très aiguës, puis au moment, où je sentais son engin prêt à fondre, ce que m’annonçait une très légère et très faible érection, alors, dis-je, je lui écartais prodigieusement les deux fesses, et j’approchais le trou de son cul, de la flamme d’une bougie placée à terre à ce dessein, ce n’était, qu’à la sensation de la brûlure de cette bougie à son anus, que se décidait l’émission, je redoublais alors mes morsures, et ma bouche se trouvait bientôt pleine. — „Un instant,“ dit l’évêque, je n’entendrai point aujourd’hui de décharges faits dans une bouche, sans que cela me rappelle la bonne fortune, que je viens d’avoir et ne dispose mes esprits à des plaisirs de même sorte.“ — En disant cela, il attira à lui Bande-au-ciel, qui était de poste auprès de lui ce soir-là, et se met à lui sucer le vit, avec toute la lubricité d’un vrai bougre ; le foutre part, il l’avale, et il renouvelle bientôt la même opération sur Zéphire, — il bandait, et rarement les femmes se trouvaient bien, près de lui, quand il était dans cette crise, malheureusement c’était Aline, sa nièce : „Que