sourciller. Le duc et ses deux autres amis, firent péter ou chier, et la méridienne faite, on vint écouter Duclos, qui reprit ainsi la suite de ses récits. — „ Je vais couler rapidement,“ dit cette aimable fille, „sur les deux dernières aventures qui me restent à vous conter de ces hommes singuliers, qui ne trouvent leur volupté que dans la douleur qu’on leur fait éprouver ; et puis nous changerons de matière, si vous le trouvez bon, — [126]le premier, pendant que je le branlais, nue et debout, voulut que par le trou, fait au plafond on nous jeta tout le temps que devait durer la scène, des flots d’eau presque bouillante sur le corps, j’eus beau à lui représenter, que n’ayant pas la même passion que lui, j’allais pourtant comme lui m’en trouver la victime, il m’assura, que je n’en ressentirais aucun mal, et que ces douches-là étaient supérieures pour la santé ; je le crus et me laissa faire, et comme c’était chez lui, je ne fus pas maîtresse du degré de chaleur de l’eau ; elle était presque bouillante, on n’imagine pas le plaisir qu’il éprouva en la recevant, pour moi, toute en l’opérant le plus promptement que je pus, je criai je vous l’avoue, comme un matou, que l’on échaude, ma peau en pela, et je me permis bien de ne jamais retourner chez cet homme.“ — „Ah, parbleu,“ dit le duc, „il me prend envie de chauder comme cela la belle Aline.“ — „Mgr.,“ lui répondit humblement celle-ci, „je ne suis pas un cochon,“ — et la franchise naïve de sa réponse enfantine ayant fait rire tout le monde, on demanda à Duclos, quel était le second et [127]dernier exemple qu’elle avait à citer du même genre. — „Il n’était pas tout à fait si pénible pour moi,“ dit Duclos, „il ne s’agissait que de se cuirasser la main
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