Page:Sade - Les 120 Journées de Sodome, éd. Dühren, 1904.djvu/473

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y tient au tabouret, il est en face posté sur un fauteuil, où il se fait branler par la fille de cette femme-là, en déchargeant, il tire la corde, la fille n’étant plus soutenue, reste accrochée, il sort, des valets viennent, détachent la fille et au moyen d’une saignée, elle revient, mais le secours se donne à son insu, il va coucher avec la fille et la sodomise toute la nuit en lui disant qu’il a pendu sa mère, il ne veut pas savoir qu’elle en est revenue. — Dites que Desgranges en parlera. 70. Il tire la fille par les oreilles, et la promène ainsi nue au milieu de la chambre, il décharge alors. 71. Il pince la fille extraordinairement sur tout le corps excepté sur le sein, il la rend toute noire. 72. Il la pince sur la gorge, la lui moleste et la lui paîtrit jusqu’à ce qu’elle soit entièrement meurtrie. 73. Il lui trace des chiffres et des lettres avec la pointe d’une aiguille sur les tetons, mais l’aiguille est envenimée, la gorge enfle et elle souffre beaucoup. 74. Il lui enfonce mille ou deux mille camions dans les tetons et décharge, quand elle en a le sein couvert. — On surprend ce jour-là Julie toujours plus libertine que jamais, se branlant avec la Chanville, l’évêque la protège encore plus depuis lors, et l’admet dans sa chambre, comme le duc a Duclos, Durcet Martaine et Curval Fanchon. Elle avoue que depuis sa répudiation comme elle avait été condamnée à aller coucher dans l’étable des bêtes, la Chanville l’avait retiré dans sa chambre et couchait avec elle. — Le seize. [375 —
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75. Il enfonce de grosses épingles généralement sur tout le corps de la fille, tetons compris, il décharge quand elle en est couverte, dites que Desgranges en parlera. C’est celle, qu’elle expliquera la quatrième du vingt-sept février. 76. Il la gonfle de