et il y verse de plomb fondu en place ; ici le duc s’écrie : „qu’il ne veut foutre en cul de sa vie si ce n’est pas là le supplice qu’il destine à Augustine.“ Cette pauvre fille qu’il enculait pendant ce temps-là jette des cris, et verse un torrent de larmes. Et comme par cette scène elle lui fait manquer sa décharge il lui donne en se branlant et déchargeant seul une douzaine de soufflets qui font retentir la salle. 85. Un, bougre hache sur une machine préparée la fille à petits morceaux, c’est un supplice chinois. 86. Il aimait les pucelages des filles et sa seconde est d’enfourcher une pucelle par le con avec un pieu pointu ; elle est là comme à cheval, on lui enfonce un boulet de canon à chaque pied et on la laisse ainsi mourir à petit feu. 87. Un fustigateur, pèle la fille trois fois, il enduit la quatrième peau d’un caustique dévorant qui la fait mourir dans des douleurs horribles. 88. Un homme dont la première passion était de couper un doigt, a pour seconde, de saisir un morceau de chair avec des tenailles rouges, il coupe avec des sciseaux ce morceau de chair, puis il brûle la plaie, il est quatre ou cinq jours à décharner ainsi peu-à-peu tout le corps et elle meurt dans les douleurs de cette cruelle opération. Ce soir-là on punit Sophie et Céladon qui ont été trouvés s’amusant ensemble, tous deux sont fouettés sur tout le corps par l’évêque à qui ils appartiennent, on coupe deux doigts à Sophie et autant à Céladon, qui, guéris tout de suite, n’en servent moins aux plaisirs de l’évêque. On remet Fanchon sur la scène et après l’avoir fouettée avec un nerf-de-bœuf on la brûle à la plante des pieds, à chaque cuisse, par devant et par derrière, au front, dans chaque main, et on lui arrache ce que lui reste de
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