Page:Sade - Les 120 Journées de Sodome, éd. Dühren, 1904.djvu/506

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dents, le duc a presque toujours le vit dans son cul pendant qu’on l’opère. Dites qu’on a préscrit pour loi de ne point gâter les fesses que le jour même du dernier supplice. Le dix-sept. [540 —
544]
89. Celui du trente janvier de Martaine et qu’elle-même a conté le cinq février, coupe les tetons et les fesses d’une jeune fille, les mange et met sur les plaies des emplâtres qui brûlent les chairs avec une telle violence, qu’elle en meurt ; il la force de manger aussi de sa propre chair, qu’il vient de couper et qu’il a fait griller. 90. Un bougre fait bouillir une petite fille dans une marmite. 91. Un bougre la fait rôtir toute vive et la broche en venant de l’enculer. 92. Un homme dont la première passion était de faire enculer des garçons et des filles devant lui par de très gros vits, empale par le cul, et laisse mourir ainsi en observant les contorsions de la fille. 93. Un bougre, attache une femme sur une roue et sans lui avoir fait aucun mal avant, la laisse ainsi mourir de sa belle mort. Ce soir-là l’évêque, très en feu, veut qu’Aline soit tourmentée. Sa rage contre elle est à la dernière période, elle paraît nue, il la fait chier et l’encule puis sans décharger ; sortant plein de fureur de ce beau cul, il lui donne un lavement d’eau bouillante qu’on l’oblige de rendre ainsi tout bouillant sur le nez de Thérèse, ensuite on coupe à Aline tous les doigts des mains et des pieds qui lui restent, on lui casse les deux bras, on les lui brûle avant avec un fer rouge, alors on la fouette et la souflette, puis l’évêque tout en feu, lui coupe les tetons et décharge. On passe de là à Thérèse, on lui brûle l’intérieur du con, les narines, la langue, les pieds et les mains, et on lui donne 600 coups de nerf-de-bœuf — on lui arrache,