et par derrière, on lui coupe les deux bouts des tetons, tous les doigts des mains et Curval l’encule en cet état, sans décharger. — On amène Fanchon à qui on crève un œil ; pendant la nuit le duc et Curval escortés de Desgranges et de Duclos descendent Augustine au caveau, elle avait le cul très conservé ; on le fouette, puis chacun l’encule sans décharger, ensuite le duc lui fait cinquante-huit blessures sur les fesses dans chacune desquelles il coule d’huile bouillante, il lui enfonce un fer chaud dans le con et dans le cul et la fout sur les blessures avec un condom de peau de chien de mer qui redéchirait les brûlures. Cela fait, on lui découvre les os et on les lui scie en différents endroits, puis l’on découvre ses nerfs en quatre endroits, formant la croix on attache à un tourniquet chaque bout de ces nerfs et on tourne, ce qui lui allonge ces parties délicates et la fait souffrir des douleurs inouïes, on lui donne du relâche pour la mieux faire souffrir, puis on reprend l’opération, et à cette fois on lui égratigne les nerfs avec un canif à mesure qu’on les allonge, cela fait, on lui fait un trou au gosier, par lequel on ramène et fait passer sa langue, on lui brûle à petit feu le teton qui lui reste, puis on lui enfonce dans le con une main armée d’un scalpel avec lequel on brise la cloison qui sépare l’anus du vagin, on quitte le scalpel, on renfonce la main, on va chercher dans ses entrailles et la force à chier par le con, ensuite par la même ouverture on va lui fendre le sac de l’estomac, puis l’on revient au visage, on lui coupe les oreilles, on lui brûle l’intérieur du nez, on lui éteint les yeux en laissant distiller de la cire d’Espagne brûlante dedans, on lui lève le crâne,
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