plaisir que de vous commander des tableaux ; il
n’est pas un artiste au monde en état de les
exécuter comme vous… ce coquin a le cul
d’un étroit… c’est tout ce que je peux faire
que de m’y loger… Voulez-vous bien me permettre,
Madame, de mordre et pincer vos belles
chairs pendant que je fouts.
Tant que tu voudras, mon ami, mais ma vengeance est prête, je t’en avertis ; je jure qu’à chaque vexation je te lâche un pet dans la bouche.
Ah ! sacre dieu, quelle menace ! c’est me presser de t’offenser, ma chère (il la mord.) ; voyons si tu tiendras parole (il reçoit un pet). Ah ! foutre délicieux… délicieux (il la claque et reçoit sur-le-champ un autre pet.) Oh ! c’est divin, mon ange ! garde-m’en quelques-uns pour l’instant de la crise… et sois sûre que je te traiterai alors avec toute la cruauté… toute la barbarie… Foutre… je n’en puis plus… je décharge (il la mord, la claque, et elle ne cesse de petter.)… vois-tu comme je te traite,