ment indifférent, relativement à la quantité de cette puissance, nous en choisirons successive-
quement de t, elle pourra être représentée par la fonction Ft, d’où u = Ft.
Lorsque t s’accroît et devient t + dt, u devient u + du, d’où :
Retranchant l’équation précédente, il vient
C’est évidemment là la quantité de puissance motrice produite par la chute d’une unité de chaleur du degré t + dt au degré t.
Si la quantité de chaleur, au lieu d’être une unité, eût été e, sa puissance motrice produite aurait eu pour valeur :
Mais edu est la même chose que δr ; toutes deux sont la puissance développée par la chute de la quantité e de chaleur du degré t + dt au degré t : par conséquent,
et, à cause des équations 3, 4,
ou, divisant par F′t.dt,
en nommant T la fraction NF′t qui est une fonction de t seul.
L’équation :
est l’expression analytique de la loi énoncée pag. 52 ; elle est commune à tous les gaz, puisque les lois dont nous avons fait usage sont communes à tous.