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mettez l’autre moitié au bain-Marie et la différence sera encore très sensible. Aussi Cadet de Vaux a-t-il grandement raison de prescrire de faire chauffer le café brusquement au moment de le prendre.
Il est assez naturel aux preneurs et amateurs de café de chercher à n’en point manquer en voyage : mais celui qu’on trouve dans les auberges est généralement si mauvais, que le voyageur se trouve souvent placé entre l’horreur que lui inspire un pareil breuvage et la triste circonstance de se passer de café, véritable privation pour quiconque a l’habitude d’en prendre tous les jours. De là est venue l’idée de réduire cette infusion à un état de concentration suffisant pour pouvoir en
