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DES DEUX PREMIERS VOLUMES.
Ceste gentille et belle creature
II. 147
C’estoit assez que ma debile force
II. 88
C’est trop peu dit, ami, que je vous
II. 101
Ce vert laurier je consacre et
I. 100
Chacun avoit pitié, frayeur et
II. 141
Chastelus donne à desjeuner
II. 243
Comme le mal après un grand plaisir
I. 95
Comme l’esprit en un corps
II. 139
Contentez-vous, heureuses violettes
II. 136
{{table|titre= De bonne estime estes si bien|page= II. 49}
De moins que rien
I. 113
De moy, qui tout vostre me sens. (Les trois Rois.)
II. 44
Des grands malheurs. (Du nom de Claude.)
II. 150
De tant de maux qu’en amour
II. 270
De tant de peine endurée
II. 79
De veoir ma fin, j’ay eu cent fois
II. 98
Dieu tout-puissant délivra. (Le Jour de Pasques.)
II. 131
Donné me fust des Dieux. (De sa naissance.)
I. 114
D’où vient la peur qui sans fin
II. 149
D’un seul dizain la perte est bien
II. 141
Elle a voulu serviteur me nommer
II. 79
Elle dira que je l’ay mérité
II. 84
En bonne foy c’est grand péché
II. 262
Enfant qui n’espargnes les Dieux
II. 76
Entre les biens dont le ciel favorable. (Au Roy.)
II. 102
En un jardin après longue oraison
II. 139
Espoir n’a lieu quand le contentement
II. 110
Estant icy tout seul à la fenestre
II. 67
Est-il laurier ou palme ? (Le premier Jour de may.)
II. 143
Est-il point vray ou si je l’ay songé
II. 295
Fortune et moy et le roy. (Sur une abbaye.)
I. 94
Gloire et regret des poëtes. (A Cl. Marot.)
II. 131
Grand est le mal dont la personne
II. 83
Ha ! le grand tort, amy, que vous
II. 116
Ha ! petit chien que tu as
I. 97
Heures que j’ay soingneusement
II. 265
