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Page:Saint-Gelais - Oeuvres completes tome 2.djvu/362

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TABLE DES POÉSIES
Heureuse foy ne vous vueille 
 II. 40
Heur ou malheur ne puis faillir 
 II. 40
Il est plus de sortes d’aimer 
 II. 43
Il ne peut cheoir en mon entendement 
 II. 117
Il n’est pas moins naturel de l’aimer 
 II. 294
Il n’est tumbeau à ce que l’on m’a dit 
 II. 122
Il vint l’autre jour un cafard 
 II. 298
J’ay autrefois vostre faucon tenu 
 II. 295
J’ay eu du mal pour vouloir bien 
 II. 68
J’ay mis au clair le plus grand 
 II. 140
J’ay tant de mal et vous de cruauté 
 II. 275
J’ay trop pensé pour bien le scavoir 
 II. 120
Je dis assez qui me voudroit 
 II. 271
Je doy moy-mesme et ma vie 
 I. 92
Jehan Thibault entre ses amis 
 II. 260
J’en ayme deux d’amour 
 II. 57
Je ne me sens de grâce tant pourvue 
 II. 50
Je ne scaurois tant de fois la revoir 
 II. 146
Je ne vis onc, sire, en vostre. (De Fontainebleau.) 
 II. 135
Je porte au bras que lié vous avez 
 II. 95
Je scay très-bien qu’elle m’accusera 
 II. 121
Je te rends grâce, ô clémence divine 
 II. 289
Je te salue, ô très-humble pucelle 
 II. 291
Je tiens plus cher l’anneau. (D’un anneau de cristal.) 
 II. 97
Jeudy dernier je fus chez la Normande 
 II. 57
La dureté qui dans un cœur. (Sur S. Jérôme.) 
 II. 45
L’aise que vous donne ma peine 
 II. 71
La liberté, cher ami des Essars 
 II. 128
La liberté qu’avecque tant de peine 
 II. 99
La mère du Dieu plus legier. (A la maréchale de S.-André.) 
 II. 73
L’ami de qui vous me contez 
 II. 126
L’archer qui tire aux Dieux et 
 II. 264
La seule mère et féconde pucelle 
 II. 293
Las ! je pensois que tant de maux. (D’un eslongnement.) 
 II. 125