Page:Saint-Pol-Roux - Les Reposoirs de la procession, t1, 1893.djvu/118

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

Vêtu d’étoffes somptueuses, comme taillées dans un songe de poète pauvre, une grappe adamantine à chaque oreille, les phalanges corselées de bagues, pontife de l’idée sous la tiare ou prince de la matière sous le diadème, j’allai promener autour