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Page:Saint-Pol-Roux - Les Reposoirs de la procession, t1, 1893.djvu/60

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LA
MÉSAVENTURE DES YEUX


Nos Yeux, tant riche était leur joie, rivalisaient de merveille avec les Joyaux de la Couronne.

— Je te vois bel et pur !

Gazouillaient les siens.

— Je te vois pure et belle !