Page:Saint-Simon - Mémoires, Chéruel, Hachette, 1858, octavo, tome 20.djvu/141

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Versailles ; accueil distingué qu’elle y reçoit, IV, 246.

BÉDOYERE (LA), procureur général au parlement de Rennes, a ordre de se défaire de sa charge ; pourquoi, XVII, 450.

BEGON (l’abbé) est nommé évêque de Toul, XIX, 313.

BEJAR (le duc de), Sotomayor y Zuniga, grand d’Espagne ; son caractère ; historique sur sa maison, XVIII, 373 et suiv.

BELESBAT (Hurault), sa famille ; comment il vit à la cour et dans le monde ; son caractère ; il meurt vieux, sans avoir été marié, V, 143.

BELLEFONDS (le marquis de), petit fils du maréchal de Bellefonds et gouverneur de Vincennes, meurt fort jeune, VIII, 416.

BELLEFONDS-FOUQUET (la maréchale de) meurt fort âgée et fort retirée à Vincennes, XIII, 437.

BELLEFONTAINE, lieutenant général, remplace du Casse dans le commandement de la flotte qui doit aller à Barcelone, XI, 102.

BELLEGARDE, officier général et commandeur du Saint-Esprit, meurt à quatre-vingt-dix ans ; il fut longtemps entretenu par la femme d’un des premiers magistrats du parlement, V, 102 ; anecdote curieuse à ce sujet, 102.

BELLEGARDE (le marquis de), second fils de d’Antin, obtient du régent la survivance de la charge de surintendant des bâtiments qu’a son père, XIV, 117.

BELLEGARDE (Mme de), femme du second fils de d’Antin, meurt de la petite vérole ; son mari meurt quatre ou cinq mois après, XVII, 281.

BELLE-ILE, chef d’escadre, est tué au combat de Malaga, IV, 329.

BELLE-ILE (Mme de), célèbre par quantité de bonnes œuvres, conçoit et enfante le nouvel ordre du Calvaire où elle meurt en 1628, VI, 60.

BELLE-ILE (île) en Bretagne, à qui elle appartenait anciennement ; comment elle vint dans la maison de Retz, puis dans celle du surintendant Fouquet, XVII, 104.

BELLE-ILE, qui s’est distingué au siége de Lille, est fait brigadier, VII, 2 ; commencement de sa grande fortune ; il était petit-fils du surintendant Fouquet, 204 ; comment il devient mestre de Camp général et obtient 120 000 livres de brevet de retenue sur cette charge, 205 ; épouse Mlle de Sivrac, de la maison de Durfort, riche, laide et folle, IX, 310 ; gagne au conseil de régence une somme de 400 000 écus, qui doivent lui être payés par les états de Bretagne, XIII, 193 ; généalogie de Belle-Ile, 193 ; caractère des deux frères, 193 ; leur parenté ; leur liaison avec M. et Mme de Saint-Simon, 198 ; commencement de leur fortune, 199 ; leurs alliances, XVII, 106 ; comment ils sont poussés et protégés par Mme de Lévi, 107 ; caractère des deux frères, 108 et suiv ; leur union inaltérable et tendant toujours au même but, 110 ; leur liaison avec M. et Mme de Saint-Simon ; autres amis puissants qu’ils se font, 111 ; difficultés qu’ils surmontent pour obtenir du roi l’échange de Belle-Ile ; ce qu’ils obtiennent en retour, 112 ; comment cette affaire passe au conseil de régence, 113 ; au parlement et à la chambre des comptes, 114 ; Belle-Ile achète de la famille de Puysieux le gouvernement d’Huningue ; par quels protecteurs il obtient du régent la confirmation de ce marché, 152 ; bruit que fait cette grâce singulière, 153 ; il est chargé par l’abbé Dubois de proposer à M. de Saint-Simon un raccommodement entre eux ; à quelles conditions, XVIII, 177 ; sa lettre à M. de Saint-Simon, explicative de celle du cardinal Dubois au même ; quel en est l’objet, XIX, 259 ; est chargé par le cardinal Dubois de prier M. de Saint-Simon de le servir auprès du régent pour être déclaré premier ministre, comment il s’acquitte de cette commission, 358 ; il lui recommande vivement cette affaire, 361, 371 ; son impatience à ce sujet, 389 ; pourquoi il encourt la haine de Mme de Prie qui veut le perdre, 396 ; son union avec Le Blanc, 396 ; il va à la Ferté voir M. de Saint-Simon avec La Fare, pour lui faire part de ses inquiétudes sur les suites de l’affaire de la Jonchère, 421 ; conseils qu’il en reçoit et qu’il ne veut pas suivre, 422 et suiv, ; il comparaît devant la chambre de l’Arsenal ; déposition qu’il y fait, 463.

BELLUGA, évêque de Murcie, est nommé cardinal ; sa rare piété ; sa fidélité et son attachement à Philippe V, XVII, 320 ; son désintéressement ; sa résistance aux ordres réitérés du roi ; à quelle occasion, 321 ; il refuse la dignité de cardinal s’il ne l’obtient du roi, 322 ; reçoit ordre enfin de l’accepter ; remet