Page:Saint-Simon - Mémoires, Chéruel, Hachette, 1858, octavo, tome 20.djvu/217

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mande pardon au prince qui obtient son rétablissement, VII, 36, comment le prince Frédéric est reçu par le roi et par Monseigneur, et traité par Monsieur et Madame, 37 ; devenu roi de Danemark. il épouse sa maîtresse, la duchesse de Sleswig, dix-huit jours après la mort de la reine sa femme, XVIII, 141.

FRESELIERE (La), lieutenant général, meurt à 80 ans, servant encore avec toute la vigilance d’un jeune homme et une capacité très-distinguée, III, 400.

FRESELIERE (La), fils du précédent, est mis à la Bastille ; pourquoi ; le maréchal de Boufflers obtient du roi qu’il aille servir sous lui à Lille, VI, 377.

FRESNEL, épouse la fille de Le Blanc, membre du conseil de guerre, XV, 413.

FRETTE (La), voy. La Frette.

FRETTEVILLE, dépêché au roi par le comte de La Mothe, lui apprend la reddition de Bruges, VI, 308.

FRIAS (don Joseph-Fernandez de Velasco, duc de), connétable de Castille, vient en France en ambassade extraordinaire pour remercier le roi de l’acceptation du testament de Charles II ; paraît avec une grande splendeur ; reçoit du roi un présent considérable, III, 71 ; est nommé capitaine d’une des deux compagnies espagnoles des gardes du corps, IV, 210 ; s’abstient de suivre le roi à l’armée ; pourquoi, 275, est nommé majordome-major, V, 54 ; remet la croix de Saint-Jacques avec une commanderie de 20 000 livres de rente et demande la Toison qu’Aguilar a quittée, 74 ; sa mort, X, 315.

FRIAS Velasco, dernier des connétables de Castille, grand d’Espagne ; historique sur sa maison, XVIII, 376.

FRIGILLIANE (le comte de), père du marquis d’Aguilar, est nommé membre du conseil du cabinet, VII, 335 ; est fait chef du conseil des Indes, XII, 36.

FRISE (le comte de), est fait prisonnier à la bataille de Spire et renvoyé à Landau, dont son père était gouverneur, pour lui apprendre la vérité sur cette bataille, IV, 202.

FRONSAC (le duc de), fils du duc de Richelieu, reste neutre dans l’affaire de d’Antin, IX, 62 ; épouse la fille de feu M. de Noailles ; sa gentillesse ; il devient la coqueluche de la cour, 73 ; est renfermé à la Bastille trois mois après son mariage, 73 ; son père paye ses dettes et le fait sortir de prison, IX, 204 ; il apporte au roi la nouvelle de la capitulation du château et des forts de Fribourg ; reçoit 12 000 livres et un logement à Marly, XI, 20. Voy. Richelieu (duc de).

FRONTENAC (le comte de), gouverneur général à Québec, gagne la confiance des sauvages ; sa famille ; sa femme ; il est envoyé deux fois à Québec et y meurt, II, 270.

FRONTENAC (Mme de), meurt fort vieille à l’Arsenal ; son amitié avec Mlle d’Outrelaise ; on les appelait toutes deux les divines ; pourquoi, V, 335 ; origine de Mme de Frontenac ; son mari ; elle laisse le peu de bien qu’elle a à Beringhen, premier écuyer, 336.

FUENSALIDA Velasco (le comte), grand d’Espagne ; sa famille, XVIII, 453.

FURSTEMBERG (le prince de), meurt en Allemagne, gouverneur de l’électorat de Saxe, XIV, 54.

FURSTEMBERG (la princesse de), sa mort ; de qui elle était fille ; sa beauté ; son caractère aimable ; sa naïveté plaisante, IX, 420 ; sa liaison avec la duchesse de Foix ; anecdote ; comment elle avait obtenu le tabouret, 420.

FURSTEMBERG (le cardinal de), évêque de Strasbourg, son portrait physique ; sa capacité ; sa famille, sa détresse au milieu d’immenses revenus, II, 391 ; son attachement pour la comtesse de Fürstemberg ; il est gouverné par elle, 394 ; est gagné par Mme de Soubise et par le roi pour assurer à l’abbé de Soubise la coadjutorerie de Strasbourg, 395 ; marie une fille de son neveu avec le prince : d’Isenghien, 400 ; sa mort, lV, 255.


G.


GABARET, chef d’escadre, a une cuisse emportée au combat de Malaga et meurt peu de jours après, IV, 330. GACÉ, prend Huy qui est repris par les ennemis, V, 36 ; obtient pour son troisième fils le régiment de cavalerie qu’avait son second fils tué à Lille, 337 ; est nommé lieutenant général pour commander l’expédition d’Écosse ; reçoit des lettres patentes d’ambassadeur extraordinaire auprès du roi d’Angleterre Jacques III, VI, 193 ; est déclaré maréchal de France à Dunkerque ; prend le nom de Matignon, 198. Voy. Matignon (le maréchal).

GACÉ, fils du maréchal Matignon, se marie à la fille du maréchal de Châteaurenaud ; sur la démission de son père il