Page:Saint-Simon - Mémoires, Chéruel, Hachette, 1858, octavo, tome 20.djvu/235

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I, 222 ; comment il trompe le prince de Bade, tandis que le maréchal de Choiseul passe le Rhin, II, 10 ; comment il fait avorter un autre projet du maréchal, 16 ; vient à la cour remontrer le danger de laisser accommoder le Spirebach aux ennemis et de ne pas mieux garnir Landau, IV, 2 ; est fait maréchal de France, 79 ; sa naissance ; ses ancêtres ; ses alliances, 90 ; son père tué devant Gravelines, 91 ; caractère de sa mère ; considération dont elle jouit ; le vieux Beringhen entretient et aime le marquis d’Huxelles ; Louvois l’avance dans les grades ; il est commandant d’Alsace et sert toutes les campagnes sur le Rhin, 91 ; son portrait ; son caractère ; ses mœurs grecques, 92 ; il brûle d’envie d’être duc ; fait sa cour aux princes légitimés ; trouve accès auprès de Mme de Maintenon, 94 ; fait sa cour à Mlle Choin, puis l’abandonne après la mort de Monseigneur, 94 ; il aspire à l’ambassade de Rome ; jaloux de la préférence donnée à M. de Saint-Simon, il travaille à lui nuire auprès du roi et de Monseigneur, V, 112 ; il demande et obtient la permission de rester à Paris en conservant le commandement de l’Alsace ; état qu’il y tient ; comment il fait sa cour à Mlle Choin et autres grands personnages, VIII, 101 ; il tombe dans une humeur noire ; quelle en est la cause, 102 ; il est nommé avec l’abbé de Polignac pour aller à Gertruydemberg, 105 ; reçoit défense de mettre les armes à rien pendant le temps de sa négociation ; pourquoi, 106 ; son désespoir à la mort de Monseigneur ; il cherche à se lier avec M. du Maine, IX, 278 ; part pour aller négocier la paix à Utrecht, X, 15 ; revient saluer le roi après la paix ; son humeur et sa hauteur envers son collègue Polignac, 26 ; il obtient du roi le gouvernement d’Alsace et celui de Brisach, XI, 17 ; il indigne la cour et la ville en venant remercier le roi, de ce qu’il vient de faire pour ses bâtards M. du Maine et M. le comte de Toulouse ; il veut entrer au conseil et être fait duc, 153 ; obtient le gouvernement de Strasbourg, XII, 436 ; est déclaré chef du conseil des affaires étrangères, XIII, 149 ; son dépit contre Louville ; à quel sujet ; comment il le reçoit, XIV, 58 et suiv. ; il refuse de signer le traité de paix conclu entre la France et l’Angleterre, 186 ; sur la menace que lui fait faire le régent, il le signe, 186 ; il raffermit ce prince contre les manèges de la cabale vendue à la cour de Rome, XV, 334 ; refuse de signer la convention entre la France, l’empereur et l’Angleterre, XVI, 160 ; reçoit ordre du régent de la signer ou de se démettre ; la signe, 173.

HUXELLES (la marquise d’), mère du maréchal, meurt à 86 ans ; sa famille ; son premier mariage, X, 187 ; son esprit, sa beauté ; sa galanterie ; son caractère ; elle tenait un bureau d’esprit fort décisif, 187.

HYGHENS, premier médecin du roi d’Espagne, Irlandais d’origine ; sa capacité ; comment il parvint à cette charge ; XIX, 391 ; son caractère ; ses belles qualités ; ses grandes connaissances, 392 ; son attachement pour le roi Jacques, 393.


I.


IBERVILLE (D’), est nommé ambassadeur à Mayence, II, 49 ; sa capacité pour les affaires, 51.

IBERVILLE, réuni à Chavagnac, prend la petite île de Nieves, 30 vaisseaux marchands ; emmène 7000 nègres, V, 168.

IMÉCOURT, maréchal de camp, est tué devant Verue, V, 71.

IMHOFF, savant généalogiste allemand ; voyez sa généalogie des maisons d’Este et Farnèse, XVII, 265 et suiv.

IMPERIALI (le cardinal), légat a latere, va saluer l’archiduc à Milan ; sa capacité ; son caractère ; son éloignement pour la France ; quelle en était la cause, X, 24.

INFANTADO (le duc del), se retire dans une de ses terres quelques jours avant que le roi parte pour l’armée et rentre à Madrid le soir même que le roi en est sorti, IV, 276.

INFANTADO (le duc del), branche des ducs de Lerme ; leur généalogie, XVIII, 347 ; leur attachement à la maison d’Autriche ; le duc del Infantado s’approche rarement de la cour de Philippe V, 348 ; sa vie retirée ; ses richesses immenses ; il se fait bâtir une sépulture aux capucins de Guadalaxara ; il reçoit avis que le roi et la reine vont aller à son château de Lerma sans s’émouvoir et sans donner aucun ordre, 349 ; grand d’Espagne ; historique sur sa maison, 381 et suiv.

INFANTE (l’) d’Espagne, destinée au roi de France, est échangée à l’île des Faisans, XIX, 114 ; est conduite en France