Page:Saint-Simon - Mémoires, Chéruel, Hachette, 1858, octavo, tome 20.djvu/309

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recours à Desmarets ; pense à se lier avec M. de Saint-Simon, 33 ; portrait physique et moral de M. de Noailles ; ses qualités extérieures, 35 ; ses talents agréables, 35 ; ses défauts ; ses vices, son hypocrisie ; son ambition, 36 ; son imagination ; son incapacité pour les grandes affaires ; son mérite comme militaire, 39 ; comment il gagne M. de Saint-Simon et l’engage à se rapprocher de M. le duc et de Mme la duchesse d’Orléans, 39 et suiv. ; lui fait une demi-confidence sur la cause de sa disgrâce en Espagne, 42, 43 ; le prie de le raccommoder avec les ducs de Beauvilliers et de Chevreuse, 44 et suiv. ; sa reconnaissance pour M. de Saint-Simon augmente encore quand il se voit mieux traité par M. le Dauphin, 47 ; il donne à Mme la Dauphine une belle tabatière dont la disparition dans la chambre de la princesse excite de terribles soupçons, 79 et suiv. ; son embarras à la cour après la mort du Dauphin et de la Dauphine ; il va aux eaux de Vichy, 152 ; pour se raccrocher chez Mme de Maintenon, il fait faire une idylle sur la paix, paroles de Longepierre, musique de La Lande, maître de la musique de la chapelle ; le roi la fait chanter plusieurs fois à Marly, X, 428 ; portrait physique et moral du duc de Noailles, XII, 154 ; sa liaison avec M. de Saint-Simon ; ses questions sur l’avenir, après la mort du roi, 158 ; il s’attache Contades et par lui le président Maisons, 158 ; puis Canillac par le moyen du président, 162 ; se lie avec Dubois et avec le marquis d’Effiat, 164 ; puis avec Longepierre, 167 ; mouvement qu’il se donne auprès de M. de Saint-Simon ; pourquoi, 283 ; il est instruit par lui et par M. le duc d’Orléans de la place qui lui est destinée dans le conseil des finances ; ses témoignages de reconnaissance envers M. de Saint-Simon, 303 ; folles propositions qu’il lui fait, 305 ; dégoûte le duc d’Orléans de la convocation des états généraux ; pourquoi, 307 ; il demande à M. de Saint-Simon à être premier ministre, 335 ; vive réponse qu’il en reçoit, 335 ; scène violente qu’il excite chez lui à l’occasion d’une proposition qui a pour but que les ducs aillent en corps saluer le nouveau roi à la suite de M. le duc d’Orléans, 337 et suiv. ; bruit que fait cette proposition à la cour et à la ville, 342 ; le duc de Noailles va répandant que c’est M. de Saint-Simon qui a inventé cette proposition, 343 ; Mme de Saint-Simon le force à avouer que c’est lui-même et que M. de Saint-Simon l’a vivement combattue ; reproches durs que lui fait cette dame, 343 ; il n’en continue pas moins à donner cours à sa perfidie, 344 ; il évite la rencontre de M. de Saint-Simon, 348 et suiv. ; sa bassesse à son égard et son désespoir, 352 et suiv. ; sa conduite avec lui pendant la régence et depuis la mort du duc d’Orléans, 354 ; son désir infatigable de se raccommoder avec lui, 355 ; sa sœur aînée se marie avec le fils aîné de M. de Saint-Simon ; comment se fait leur raccommodement ; suite qu’il a, 357 et suiv. ; n’oublie rien pour mettre le trouble et le désordre dans la formation des conseils du gouvernement ; dans quel but, XIII, 141 ; est déclaré par le régent président du conseil des finances, 143 ; sa conduite envers Desmarets, 167 ; il plaide avec chaleur devant M. le régent la cause des conseillers d’État contre les gens de qualité non titrés, 171 ; après avoir fait le dévot jusqu’à la mort du roi, il prend et entre tient publiquement une fille de l’Opéra, 186 ; ses intrigues et ses menées contre les ducs parmi lesquels il parvient à faire un schisme, 240 et suiv. ; il est accusé de trahison en pleine assemblée, 244 ; il conseille et soutient le parlement dans l’affaire du bonnet, 247 et suiv. ; son ingratitude envers Desmarets, 315 ; comment il le persécute, 315 ; il propose au conseil de régence le surhaussement des espèces, 318 ; il fait établir par le conseil de régence une chambre de justice contre les financiers ; fait délivrer une assignation contre d’Auneuil, maître des requêtes, 347 ; est obligé de l’apporter au régent qui lui défend d’inquiéter d’Auneuil, 347 ; projets qu’il suggère au régent en faveur de l’Angleterre, 371 et suiv. ; il propose Louville pour l’envoyer au roi d’Espagne faire connaître la résolution du roi d’Angleterre de lui rendre Gibraltar, XIV, 56 ; pourquoi ce choix était maladroit ; son embarras pour faire la lettre de M. le duc d’Orléans au roi d’Espagne, 57 ; et pour rédiger l’instruction à donner à Louville, 58 ; il demande au régent et obtient la place de chancelier pour d’Aguesseau, procureur général, 174 ; se fait donner l’administration des biens de la maison de Saint-Cyr, 176 ; n’ayant pu faire détruire Marly, il persuade au régent d’en faire vendre le mobilier, 200 ; marie sa fille au prince Charles de Lorraine, qui ob-