Page:Saint-Simon - Mémoires, Chéruel, Hachette, 1858, octavo, tome 20.djvu/363

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mier président du parlement, 386 et suiv. ; il écrit à M. le duc d’Orléans sur les moyens de cueillir de grands fruits de la victoire, 407 ; apprend d’un ecclésiastique de l’église d’Osnabrück les sourdes menées du duc de Lorraine, VI, 26 ; son procès avec Mme de Lussan ; quelle en est l’origine, 29 ; le premier président Harlay le lui fait perdre, 29 ; comment le procès est repris et porté au conseil, 32 et suiv. ; M. de Saint-Simon publie un mémoire contre Mme de Lussan ; précautions qu’il prend avant de le répandre, 32 ; il gagne au conseil, 35 ; pourquoi il est brouillé avec M. le Duc et Mme la Duchesse, 35 ; il essaye de détromper le cardinal de Fleury sur sa grande confiance dans le ministre Walpole, 89 ; et dans l’empereur et M. de Lorraine, 91 ; paraît avoir été cause que la Lorraine a été cédée en plein et pour toujours à la France, 92 ; va prendre les eaux de Forges ; y apprend une nouvelle entreprise des princes du sang sur les ducs à l’occasion de la communion du roi, 104 ; écrit à ce sujet au maréchal de Boufflers ; puis au duc d’Orléans en Espagne ; l’usurpation est maintenue par le silence du roi ; comment le duc de Saint-Simon en témoigne son mécontentement à Fontainebleau, 106 ; n’assiste plus depuis aux communions du roi, 107 ; raisons qui le portent à favoriser l’alliance de Chamillart avec les Noailles, 161 ; et à ne pas approuver celle du même ministre avec la duchesse de Mortemart, 165 ; comment il travaille à faire donner les finances à Desmarets, 169 ; ses entretiens avec celui-ci, avant et après sa nomination à la place de contrôleur général, 171 et suiv. ; comment il découvre que le duc de Chevreuse est ministre d’État incognito, 184 ; il refuse de reconnaître le capitaine Rouvroy pour être de sa maison, 208 et suiv. ; sa con versation avec le duc de Beauvilliers sur la destination de Mgr le duc Bourgogne nommé pour aller commander en Flandre ayant M. de Vendôme sous ses ordres ; raisons qu’il fait valoir contre cette destination, tirées principalement du contraste frappant des caractères de ces deux princes, 221 et suiv. ; instruit de la cabale formée contre le ministre Chamillart, il lui donne un conseil que ce lui-ci exécute en tout point et qui réussit, 260 et suiv. ; soins que lui et Mme de Saint-Simon se donnent pour empêcher M. de Pontchartrain fils de se retirer des affaires après la mort de sa femme ; lettres pressantes du chancelier à ce sujet ; détails sur cette affaire, 290 et suiv. ; il reprend sa correspondance en chiffres avec le duc d’Orléans ; va faire un voyage sur les bords de la Loire, 297 ; ses entretiens avec les ducs de Beauvilliers et de Chevreuse sur les moyens d’arrêter la fureur de la cabale de M. de Vendôme contre M. le duc de Bourgogne et d’ouvrir les yeux du roi ; il fait avertir la duchesse de Bourgogne de tout ce qu’il juge qu’elle doit savoir et faire, 348 ; il avertit et fait avertir Chamillart de la colère de la duchesse de Bourgogne contre lui, et cherche à lui faire ouvrir les yeux sur sa sottise, 355 ; instruit qu’il est sur les rangs pour l’ambassade de Rome, il parle au duc de Beauvilliers, au chancelier et à Chamillart, et leur renouvelle les raisons qui lui ont déjà fait refuser cette ambassade, 371 ; prévoit quel est le dessien du duc de Vendôme relativement au siége de Lille et au duc de Bourgogne, 386 ; il propose à Cani de parier quatre pistoles qu’il n’y aura point de combat et que Lille sera prise et point secourue ; le pari est d’abord refusé comme une folie de la part de M. de Saint-Simon, puis, sur sa persévérance, est accepté et déposé entre les mains de Chamillart, 387 ; le duc donne à Chamillart des raisons qui autorisent son pari, mais lui cache les véritables ; pourquoi, 387 ; bruit que fait ce pari à la cour ; les ennemis de Saint-Simon en profitent pour le perdre dans l’esprit du roi, sans que le duc en sache rien, 388 ; ses entretiens avec MM. de Beauvilliers et de Chevreuse sur les funestes progrès de la cabale de M. de Vendôme ; sa correspondance avec la duchesse de Bourgogne, 406 ; il est retenu à la cour par le duc de Beauvilliers pour l’amour du duc de Bourgogne ; devient odieux à la cabale, imposture répandue contre lui ; dans son dépit et son impatience il se retire à la Ferté, 420 ; y reçoit une lettre de l’évêque de Chartres datée de Saint-Cyr qui l’avertit qu’on lui a rendu les plus mauvais services auprès du roi et de Mme de Maintenon ; demande des éclaircissements ; n’en reçoit point et retourne à la cour ; instruit le duc d’Orléans de tout ce qui s’est passé contre le duc de Bourgogne et le prémunit contre la cabale, VII, 11 ; accueil que lui fait le duc de Bourgogne à Versailles ; paroles que ce prince lui adresse, 12 ; il