Page:Saint-Simon - Mémoires, Chéruel, Hachette, 1858, octavo, tome 20.djvu/364

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apprend de Cheverny en quels termes flatteurs le duc de Bourgogne a parlé de lui, 26 ; le P. Tellier, confesseur du roi, lui est présenté par le P. Sanadon ; le duc est comme forcé de lier avec lui, 55 et suiv. ; noirceur du duc de Mortemart contre lui ; détails à ce sujet, 63 ; conduite de M. de Saint-Simon dans cette occasion, 67 ; le duc de Mortemart n’ose s’avouer coupable, 68 ; calomnie sur le compte de M…de Saint-Simon démentie par M. de La Trémoille, 93 et suiv. ; dans un entretien sur la situation des affaires, M. le duc de Chevreuse et M. de Saint-Simon sont étonnés de se rencontrer dans les moyens d’y remédier et d’y établir une même forme d’administration ; projet depuis longtemps rédigé par M. de Saint-Simon, 99 et suiv ; celui ci avertit M. le duc de Beauvilliers du projet de faire entrer le duc d’Harcourt dans le conseil, projet qui le menace d’une disgrâce prochaine, 105 ; conseils qu’il lui donne sur la conduite qu’il a à tenir pour parer ce coup, 106 ; à la prière de M. de Boufflers, il dresse avec le secrétaire d’État, La Vrillière, ses lettres d’érection de duc et pair, 131 ; est un de ses témoins le jour de sa réception ; dicte lui-même au greffier son témoignage, et le signe, 132 ; texte de ce témoignage, 133 ; il reste à la Ferté tout le temps que durent les cérémonies des obsèques de M. le Prince ; pourquoi ; il ne peut pardonner à M. le Duc sa méchanceté contre lui, 156 ; résiste à l’usage introduit de donner le titre de Monseigneur à M. le duc d’Orléans, 172 ; parle fortement aux ducs de Chevreuse et de Beauvilliers contre la nomination du duc d’Harcourt à l’armée du Rhin, 214 ; il avertit Mme de Dreux, fille de Chamillart, des bruits qui courent que d’Antin doit remplacer son père, 214 ; garde sa vaisselle d’argent et n’enenvoie que pour un millier de pistoles à la Monnaie, 226 ; il avertit les filles de Chamillart des sujets de mécontentement de Monseigneur contre leur père, 236 ; instruit de tout ce qui se trame contre Chamillart, il le presse de parler au roi ; belle réponse du ministre, 239 ; il le presse une seconde fois aussi inutilement, 243 ; comment il apprend chez le chancelier Pontchartrain la disgrâce de Chamillart ; peine qu’il en ressent ainsi que Mme de Saint-Simon, 250, tous deux vont à l’Étang ; spectacle qu’offre ce séjour ; sérénité de Chamillart ; M. de Saint-Simon l’assure qu’il n’oubliera point les services et les plaisirs qu’il a reçus de lui, 289 ; il pense à se retirer de la cour ; pourquoi, 268 ; en fait demander au roi la permission ; raisons qui l’empêchent d’aller dans son gouvernement de Guyenne, 269 ; il s’en va à la Ferté ; y reçoit les filles de Chamillart et Chamillart ensuite à qui il donne des fêtes et des amusements, 270 ; il essaye de raccommoder les ducs de Chevreuse et de Beauvilliers avec le maréchal de Boufflers ; son entretien avec M. de Beauvilliers sur le conseil tenu à Marly concernant le rappel des troupes d’Espagne, 288 ; conseil qu’il lui donne sur la conduite qu’il doit tenir à l’égard des cabales qui agitent la cour, 289 et suiv. ; autre entretien avec le duc de Chevreuse sur le même sujet, 295 ; position de M. de Saint-Simon à l’égard des trois cabales ; rôle qu’il joue au milieu d’elles, 297 et suiv. ; conseil qu’il donne à M. le duc d’Orléans à la suite de l’aveu que lui fait ce prince, 313 et suiv. ; son entretien avec le chancelier Pontchartrain sur les formes requises pour procéder à un jugement criminel contre M. le duc d’Orléans, 319 ; comment, il tire d’embarras le chancelier, 320 ; va en instruire le duc d’Orléans, 321 ; son entretien avec le chancelier et son épouse sur la disgrâce qui menace leur fils Pontchartrain et sur la conduite qu’ils doivent tenir dans ce cas, 325 ; l’avis qu’il donne est adopté et suivi, 327 ; conversation de Mme de Saint-Simon avec Mme la duchesse de Bourgogne qui prouve la légèreté de cette princesse et l’éloignement du roi pour M. de Saint-Simon, 328 et suiv ; quels étaient les vrais motifs de cet éloignement, 332 ; quels personnages excitaient l’aversion du roi, 332 ; à qui Mme la duchesse de Bourgogne était redevable des impressions dont Mme de Saint-Simon la fait revenir, 333 ; il se rend à Courcelles avec sa belle-sœur chez Chamillart, 424 ; deux aventures dont il y est témoin, 425 et suiv ; il revient à la Ferté, se propose de renoncer tout à fait à la cour, 427 ; Mme de Saint-Simon combat ce projet, 430 ; ils vont à Pontchartrain, chez le chancelier ; leur entretien avec lui sur ce même projet, 430 ; état de malaise où il met M. de Saint-Simon, 432 ; il se rend à Versailles ; comment il est forcé à accepter le logement que le chancelier lui