Page:Saint-Simon - Mémoires, Chéruel, Hachette, 1858, octavo, tome 20.djvu/369

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Lislebonne à l’abbaye de Remiremont, 274 ; il fréquente le troupeau de M. de Cambrai sans être initié dans leur doctrine secrète ; tous parlent devant lui avec confiance et liberté, 295 et suiv. ; conduite qu’il tient à leur égard, après la mort de Monseigneur, 297 ; ses démêlés avec le ministre Pontchartrain concernant son droit de nomination aux offices de gardes-côtes, 320 et suiv. ; il renonce à se mêler jamais de la milice de Blaye, 327 ; consent ensuite à s’en rapporter au jugement de M. Pontchartrain père, 328 ; comment se termine cette affaire par l’intermédiaire de Mme de Saint-Simon, 330 ; son entretien avec M. de Beauvilliers sur les ministres, 338 et suiv. ; il propose Saint-Contest pour remplacer Torcy, 336 ; obtient la permission d’avertir Pontchartrain fils de dominer son humeur dans ses audiences et avec tout le monde, et de montrer moins de penchant au mal et à la sévérité, 345 ; entreprend de réconcilier le chancelier et M. de Beauvilliers, 347 ; sa conversation avec Pontchartrain fils, 348 ; et avec le Dauphin sur le jansénisme, 349 ; il disculpe Pontchartrain de jansénisme auprès de M. de Beauvilliers, 349, son second entretien avec Pontchartrain dans lequel il lui fait part de la disposition des jésuites à son égard, 351 ; il l’avertit du danger où il est auprès du Dauphin, 351 ; il s’adresse à Beringhen, premier écuyer, pour le prier de travailler à la réconciliation du chancelier avec le duc de Beauvilliers, 352 et suiv. ; comment il est auprès de M. le Dauphin par les soins de M. de Beauvilliers, 354 et suiv. ; intimité de M. et de Mme de Saint-Simon avec les ducs et duchesses de Chevreuse et de Beauvilliers, 356 ; ce que M. de Saint-Simon pense du jansénisme et des jansénistes, 357 et suiv. ; l’estime que Mme de Saint-Simon acquiert à la cour par sa conduite et ses bonnes qualité est pour son mari d’un grand poids auprès de M. le Dauphin, 360 et suiv. ; court entretien de M. de Saint-Simon avec ce prince dans les jardins de Marly ; ses assiduités auprès de lui deviennent peu à peu plus fréquentes, 361 ; il l’entretient sur la dignité des ducs et trouve le Dauphin de même opinion que lui, 362 ; autre entretien sur le roi et sur le gouvernement de ses ministres, 363 et suiv. ; espérances de M. de Saint-Simon pour un règne prochain fondé sur l’ordre, la justice et la raison, 366 ; il rend compte à M. de Beauvilliers de l’entretien qu’il a eu avec le Dauphin, 367 ; nouvelle audience ; M. le Dauphin et M. de Saint-Simon y traitent historiquement et politiquement de l’état des ducs et des grands, 368 et suiv. ; discutent l’édit fait à l’occasion de d’Antin sur les duchés, 371 ; et sur les princes légitimés, 373 et suiv. ; dans une conférence avec M. de Beauvilliers, M. de Saint-Simon et lui se concertent sur tout ce qui aura rapport au Dauphin, 376 ; il est tout autrement regardé à la cour qu’il ne l’avait été jusqu’alors ; sa conduite mesurée, 378 ; il soutient contre l’avis de M. de Beauvilliers que M. le Dauphin doit faire présent à M. le duc de Berry de toute sa part de la succession de Monseigneur, 380 et suiv. ; ses tête-à-tête avec M. le Dauphin, 383 ; Mme la Dauphine les surprend un jour ensemble ; étonnement de tous trois ; Mme la Dauphine les laisse seuls, 384 ; sa conduite depuis ce moment avec M. de Saint-Simon ; comment celui-ci était auprès de la princesse 385 et suiv. ; combien Mme de Saint-Simon lui est utile auprès de M. le Dauphin et de Mme la Dauphine, 386 et suiv. ; éloignement de Mme de Maintenon pour lui ; quelle en était la cause, 387 et suiv. ; il projette d’unir M. le duc d’Orléans avec le Dauphin, et pour cela de le lier avec le duc de Beauvilliers ; ce qui favorisait ce projet ; ce qui y mettait obstacle, 389 ; il rend compte au duc d’Orléans des bruits odieux auxquels a donné lieu son assiduité auprès de sa fille ; apprend par Mme de Saint-Simon l’usage que le prince a fait de cet avis, 392 ; se plaint à Mme la duchesse d’Orléans du procédé de son mari et lui déclare qu’il ne le verra plus que rarement, 393 ; comment il se raccommode avec le prince, 393 ; sa conduite avec Mme la duchesse de Berry, 394 ; raisons qu’il fait valoir auprès de M. de Beauvilliers pour le rapprocher de M. d’Orléans et ce prince de M. le Dauphin, 397 et suiv. ; comment il persuade M. d’Orléans de la nécessité de s’unir au Dauphin ; moyens qu’il lui offre d’opérer cette union ; succès de son entre prise, 399 et suiv. ; il remet à M. le Dauphin deux mémoires : l’un sur les pertes de la dignité des ducs et pairs ; l’autre sur les maisons de Lorraine, de Bouillon et de Rohan, 401 et suiv. ; comment il parvient à réconcilier M. le duc de Beau-