Page:Saint-Simon - Mémoires, Chéruel, Hachette, 1858, octavo, tome 20.djvu/373

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enquêtes, 121 ; le ramène ensuite à la grand’chambre et lui conseille de lever la séance, 123 ; sur l’avis que lui donne Canillac, il presse le régent de déclarer le duc de Noailles et le cardinal de Noailles, le premier, président du conseil des finances, le second, du conseil de conscience ou affaires ecclésiastiques, 141 et suiv. ; obtient avec peine du régent que d’Antin soit nommé chef du conseil des affaires du dedans, 153 ; fait nommer de ce même conseil le marquis de Brancas et Beringhen, premier écuyer, 155 ; est nommé du conseil de régence, 165 ; défend devant le régent la cause des gens de qualité non titrés conseillers d’État, 171 ; obtient pour le fils de Bontemps la survivance de la charge de son père, et depuis n’entend plus parler d’eux, 184 ; demande et obtient pour son fils aîné la survivance de son gouvernement de Blaye, et pour le cadet celle de son gouvernement de Senlis, 185 ; il se raccommode avec le maréchal de Villeroy, 188 ; se brouille avec le maréchal Besons ; pourquoi, 189 et suiv. ; à sa sollicitation, l’édit sur les gardes-côtes est supprimé par le conseil de régence, 200 ; il reçoit la visite de Pontchartrain, qui vient lui demander conseil ; ses réponses, 203 ; sa conduite dans l’affaire du grand écuyer et du premier écuyer ; il plaide au conseil de régence en faveur du premier écuyer, 215 et suiv. ; refuse longtemps de recevoir la visite de Mme de Beringhen ; pourquoi, 224 ; la reçoit enfin ; comment, 225 ; ce qu’il fait pour le marquis de Saudricourt, 228 ; beau mariage qu’il projette pour lui, 230 ; comment il en est récompensé, 233 ; il veut quitter les affaires ; pourquoi ; se laisse engager par les belles promesses de M. le duc d’Orléans, 237 ; il représente en vain au régent le danger de laisser la noblesse excitée par le duc du Maine se déchaîner contre les ducs, 242 ; dans une assemblée des ducs, il s’élève contre un traître qui est parmi eux, 244 ; représente en vain au régent que le parlement se moque publiquement de son autorité dans l’affaire du bonnet, 247 ; sa conduite avec les ducs, 249 ; il refuse d’aller à une assemblée de ducs dissidents chez le maréchal d’Harcourt, 252 ; se rend malgré lui à celle qui est tenue pour la dernière fois chez l’archevêque de Mailly, 253 ; comment il fait sortir Pontchartrain du conseil et fait passer sa charge de secrétaire d’État à son fils, 269 et suiv. ; sa rupture avec le comte et la comtesse de Roucy ; à quelle occasion ; sa conduite franche et nette dans cette affaire, 272 et suiv, ; obtient du régent, pour M. d’Ancenis, fils du duc de Charost, la survivance du gouvernement de Calais et la lieutenance générale de Picardie, 305 ; gagné par Louville, il plaide auprès du régent pour Desmarets, 315 et suiv. ; obtient de lui que Desmarets ne sera point exilé ; se réconcilie avec lui ; le reçoit à la Ferté, 317 ; parle au conseil de régence contre le surhaussement des espèces proposé par le duc de Noailles, 319 ; rend à M. du Maine la visite qu’il a reçue de lui, 322 ; voit malgré lui Mme du Maine ; quel est le sujet de leur conversation, 323 et suiv, ; comment il vit avec M. le comte de Toulouse, 325 ; sa réponse à l’abbé Dubois qui vient le prier de demander pour lui au régent une place de conseiller d’État, 326 ; le félicite de l’avoir obtenue et lui donne à ce sujet un bon conseil, 326 ; demande au régent et obtient pour La Vrillière voix au conseil de régence, 339 ; et pour Armenonville la charge de secrétaire d’État des affaires étrangères, mais sans fonctions, 340 ; prend la défense d’Auneuil, maître des requêtes, et obtient du régent qu’il ne sera point inquiété, 348 ; il fait tous ses efforts auprès du régent pour le décider à aller passer les fêtes de Pâques à Villers-Cotterets, afin de prévenir un sacrilége, 359 ; croit y avoir réussi ; mais est bientôt détrompé, 361 ; s’en va à la Ferté passer la semaine sainte, 362 ; ce qu’il pense sur l’Angleterre, 371 ; dans une longue conversation avec le régent, il essaye de le détourner de se lier avec cette puissance, et lui présente pour modèle l’union de l’Autriche avec l’Espagne avant l’avénement de Philippe V ; l’engage à vivre en étroite amitié avec l’Espagne, 374 et suiv. ; le cardinal de Bissy, le prince et le cardinal de Rohan essayent de le gagner au parti de la constitution ; le duc de La Force est détaché par eux pour faire un dernier effort, 411 ; son entretien avec M. de Saint-Simon ; inutilité de ses efforts, 411 ; comment M. de Saint-Simon fait sortir un jour le duc de Noailles du conseil de régence, 413 ; un autre jour il le couvre de confusion ; à quelle occasion, 414 ; le désole de toutes manières, 416 ; comment il empêche le grand prieur d’entrer au conseil de ré-