Page:Saint-Simon - Mémoires, Chéruel, Hachette, 1858, octavo, tome 20.djvu/376

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et de la régence, en cas de mort de M. le duc d’Orléans, 323 et suiv. ; il va au Palais-Royal pour rendre compte au régent de cette conversation ; contretemps qu’il y trouve, 332 et suiv. ; son entretien avec le régent, 333 ; il combat la proposition de M. le Duc relativement à M. du Maine, 334 ; résolution prise à l’égard de M. de Charolais, 335 ; suite de l’entretien, 336 et suiv ; il manque M. le Duc au rendez-vous qu’ils se sont donné aux Tuileries, 339 ; comment il fait admettre au conseil de régence MM. de La Force et de Guiche, 342 et suiv. ; son entretien avec le régent sur les prétentions de M. le Duc, 344 : son entretien avec M. le Duc aux Tuileries ; quel en est le résultat, 397 et suiv. ; il en rend compte au régent, 353 ; son inquiétude sur la volonté ferme du prince pour un lit de justice ; d’où lui vient cette inquiétude, 354 ; espérance qu’il conçoit si l’éducation dn roi est ôtée à M. du Maine, 358 ; conférence chez M. le dnc de La Force ; quel en est l’objet ; sage prévoyance de Fagon et de l’abbé Dubois pour le lit de justice, 359 ; troisième conférence avec M. le Duc dans le jardin des Tuileries ; discussion entre eux, 360 et suiv. ; il obtient de M. le Duc qu’il demandera au régent la réduction des bâtards à leur rang de pairs avec la même fermeté qu’il demande l’éducation du roi pour lui-même, 371 et suiv. ; lui propose une distinction en faveur du comte de Toulouse, 377 ; rend compte au régent de cette conversation, 385 et suiv. ; obtient son approbation pour tout ce qui y a été décidé, 388 ; l’exhorte à la fermeté, 62 ; donne avis au régent par un billet d’une cabale du duc du Maine et de plusieurs membres du parlement pour déclarer le roi majeur, 391, 392 ; sa conférence avec Law, Fagon et l’abbé Dubois sur les mesures à prendre pour le lit de justice, 393 et suiv. ; ses vives instances à Millain pour qu’il affermisse M. le Duc dans sa résolution de rendre aux pairs toutes leurs dignités, 396 et suiv. ; son entretien avec le régent sur le lit de justice du lendemain, 398 ; M. le Duc y intervient, 399 ; M. de Saint-Simon les exhorte à l’union, et insiste de nouveau sur le rétablissement des pairs dans leur rang, 400 ; sa joie extrême en recevant de Millain l’assurance de M. le Duc que la réduction des bâtards à leur rang d’ancienneté de pairie aura lieu ; nouvelle sûreté qu’il exige de M. le Duc, 402 ; autre conférence chez le régent avec M. le Duc et Millain sur les mesures à prendre pour le lit de justice du lendemain, 404 et suiv, ; son opinion sur ceux qui ont le droit d’y délibérer, 407 ; il confie au duc de Chaulnes le secret du lit de justice et ce qui doit y être décidé, 410 ; il s’habille en manteau pour se rendre au lit de justice, 413, fait avertir M. le comte de Toulouse d’être sans inquiétude sur ce qui va se passer, 414 (voy. l’art. Lit de justice) ; rentré chez lui après le lit de justice il reçoit un message du régent qui le mande au Palais-Royal ; objet de ce message, XVII, 2 ; il essaye en vain de se défendre d’aller à Saint-Cloud faire part à Mme la duchesse d’Orléans de ce qui s’est passé au lit de justice, 4 et suiv. ; est forcé de céder, 6 ; sa prudence en cette occasion est confondue par celle d’un page, 7 ; comment il s’acquitte de sa commission auprès de Mme la duchesse d’Orléans ; détails curieux à ce sujet, 8 et suiv. ; il se rend ensuite chez Madame ; lui fait le récit de ce qui s’est passé au lit de justice, 11 et suiv. ; retourne chez Mme la duchesse d’Orléans ; achève d’écrire sous sa dictée une lettre que cette princesse a commencée et par laquelle elle demande au régent la permission de s’en aller à Montmartre, 13 ; su conversation avec Mme de Sforze, 15 ; retourne au Palais-Royal rendre compte de sa commission ; exhorte le régent à traiter Mme la Duchesse avec tous les ménagements que sa douleur exige, 16 ; reste brouillé avec Mme d’Orléans ; va à l’hôtel de Condé ; accueil qu’il y reçoit ; refuse de se lier avec Mme la Duchesse, 19 ; sa conversation avec M. de Valincourt, secrétaire général de la marine, attaché à M. le comte de Toulouse ; il lui parle franchement sur le choix que le comte a à faire ; le prie de parler si fortement à son maître qu’il ne se perde pas pour son frère, et qu’il se trouve le lendemain au conseil de régence, 23 ; pourquoi M. de Saint-Simon ne profite pas de l’occasion du lit de justice pour faire décider l’affaire du bonnet, 29 ; il fait part au régent des avis que lui donne Mme d’Alègre sur la cabale qui vient d’être frappée, 31 ; il obtient du régent la création d’un second lieutenant des galères, pour le chevalier de Rancé, frère de l’ancien abbé de la Trappe, 33 ; comment il empêche que la démission de la charge de premier gentilhomme de la chambre que le duc de Mortemart envoie au régent soit ac-