Page:Saint-Simon - Mémoires, Chéruel, Hachette, 1858, octavo, tome 20.djvu/379

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

l’esprit du régent, 113 et suiv. ; comment il répond aux singuliers reproches que lui fait le régent, 118 et suiv. ; lui fait avouer que c’est l’abbé Dubois qui les lui a suggérés, 125 ; sa conversation avec Torcy sur l’abbé Dubois et sur le moyen à prendre pour décider le régent à l’éloigner de lui, 149 ; M. de Saint-Simon cède sans se rendre aux raisons de Torcy, 150 ; ils se rendent tous les deux chez le maréchal de Villeroy ; comment ils en sont reçus, 151 ; M. de Saint-Simon apprend du régent la trahison du maréchal à leur égard, 151 ; sa réponse ferme calme M. le duc d’Orléans, 152 ; ce prince lui apprend que le double mariage du roi avec l’infante d’Espagne et du prince des Asturies avec Mlle d’Orléans est arrêté ; leur entretien au sujet de l’éducation de l’infante jusqu’à son mariage, 163 et suiv. ; M. de Saint-Simon demande l’ambassade d’Espagne pour faire grand d’Espagne son second fils le marquis de Ruffec, et l’obtient aussitôt, 167 ; demande le secret sur cette ambassade et de n’être chargé d’aucune affaire ; pourquoi ; 168 ; obtient pour la dernière sœur de Mme de Saint-Simon l’abbaye de Saint-Amand de Rouen, 168 ; il va faire visite à l’abbé Dubois lorsqu’il est nommé cardinal ; détails sur cette visite, 174 ; accepte les conditions de raccommodement que cet abbé lui fait proposer par Belle-Ile, 179 et suiv. ; comment il s’en trouve dégagé, 188 ; sa conversation avec M. le Duc concernant le peu de confiance que le régent montre à ce prince, 188 et suiv. ; et sur le caractère du roi, 190 ; il conseille au régent de faire offrir par le roi, à M. de Fréjus, l’archevêché de Reims ; pourquoi, 196 ; presse lui-même inutilement M. de Fréjus d’accepter ce siége, 198 et suiv ; conseille au régent de lui faire donner l’abbaye de Saint-Étienne de Caen, 201 ; ses efforts auprès du prince pour le faire consentir à donner l’archevêché de Reims à l’abbé de Castries, 203 et suiv. ; Son ambassade est déclarée dans le cabinet du roi malgré les efforts du cardinal Dubois pour le faire échouer, 229 ; noms des personnages principaux qu’il doit emmener avec lui, 230 ; il consulte pour son ambassade le duc de Berwick, Amelot et le duc de Saint-Aignan ; lumières qu’il en tire sur l’Espagne, 233 et suiv. ; obtient, après beaucoup de peine et de délais, une instruction du cardinal Dubois, 234 ; quel en est le contenu, 235 et suiv. ; ordres qu’il reçoit concernant la préséance et les visites ; piége que lui tend le cardinal, 244 et suiv. ; incroyable faiblesse du régent à cet égard, 243 ; il refuse de demander le cordon bleu, 245 ; refuse aussi de mander à M. de Torcy la démission des postes de la manière dont le cardinal Dubois l’exige, 249 ; comment il s’y prend, 249 ; son départ pour Madrid ; il rencontre à Vivonne l’ambassadeur d’Espagne, le duc d’Ossone ; leur entretien ; quel en est le sujet, 251 et suiv. ; son séjour à Ruffec et à Blaye, 253 ; son passage à Bordeaux, 254 ; sa politesse aux jurats de cette ville, 255 ; son arrivée à Bayonne ; comment il y est accueilli par le com mandant Adoncourt et par l’évêque Dreuillet, 255 ; sa réponse à une lettre de Sartine qui le presse de la part de Leurs Majestés Catholiques de hâter son arrivée, 256 ; il obtient une audience de la reine douairière d’Espagne ; comment elle se passe ; portrait physique de cette princesse, 257 et suiv. ; il traverse les Pyrénées ; visite Loyola, lieu de la naissance de saint Ignace ; description de ce lieu et de l’église magnifique que les jésuites y ont bâtie, 259 et suiv. ; il arrive à Vittoria ; présent qu’il y reçoit ; courriers de Sartine pour presser son arrivée à Madrid, 260 ; il vient à Burgos où son fils aîné tombe malade, 261 ; se rend en poste à Madrid, 262 ; visites qu’il y reçoit, 263 ; il fait sa première révérence à Leurs Majestés et à leur famille ; détails à ce sujet, 264 et suiv. ; honneurs qu’on lui fait de la part du roi, 267 ; conduite opposée que tiennent avec lui le duc de Giovenazzo, auparavant Cellamare, et le duc de Popoli, 267 ; sa visite au marquis de Grimaldo, chargé des affaires étrangères, 268 ; il lui présente copie des lettres qu’il doit remettre au roi et au prince des Asturies ; comment il se tire de l’embarras où le cardinal Dubois l’a voulu mettre à l’égard des lettres, 268, 269 ; gagne la confiance et l’amitié du marquis de Grimaldo, 272 ; obtient la première audience particulière du roi, de la reine et du prince des Asturies, leur remet les lettres du roi et de M. le duc d’Orléans, 272, 273 ; contestation au sujet de témoins que demandent les secrétaires d’État pour la signature du contrat de mariage, 273 et suiv. ; comment la difficulté est levée à cet égard par le roi d’Espagne, 276 ; MM. de Saint-Simon et Maulevrier signent les