Page:Saint-Simon - Mémoires, Chéruel, Hachette, 1858, octavo, tome 20.djvu/386

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SCHOMBÉBG (le duc de), meurt près de Londres, à 79 ans ; sa naissance, XVII, 219 ; ses services ; son mariage, 220.

SCHOMBORN (le comte de), vice-chancelier de l’empire, se bat en duel avec le comte de Windisgratz, XIV, 192.

SCHULEMBOURG, commandant 20 000 Saxons ou Moscovites, est entièrement défait par 12 000 Suédois, commandés par Rinschild ; il se sauve seul et blessé, V, 146.

SCIPION (le comte), fils du comte Bozelli, entre au service de France où il devient lieutenant général ; son caractère, V, 101.

SCOTTI, chargé d’affaires du duc de Parme à Madrid, est aimé de la reine sans en être estimé ; son extérieur ; il devient gouverneur du dernier des infants ; obtient la Toison d’or, la grandesse et l’ordre du Saint-Esprit, XIX, 79.

SEBEVILLE (le chevalier de), chef d’escadre, périt à Toulon dans un précipice, VI, 95.

SEBEVILLE, officier général, meurt fort vieux ; son ambassade à Vienne ; son caractère, X, 17.

SEBRET, commandant d’une brigade à la bataille de Castiglione, est fait brigadier, V, 250.

SÉCHELLES, maître des requêtes, ami intime de Le Blanc, est enveloppé dans l’affaire de La Jonchère et comparaît devant la chambre de l’Arsenal, XIX, 463.

SECRÉTAIRE des dépêches universelles en Espagne ; quelles sont ses fonctions, III, 104.

SECRÉTAIRES D’ÉTAT, de leurs attributions sous l’ancienne monarchie, II, 43, note : de leur origine et de leurs départements, IX, 446.

SEDAN (princes de), historique sur l’état de ces princes jusqu’au maréchal de Bouillon, auparavant vicomte de Turenne, V, 299 et suiv. ; Sedan ne fut jamais une souveraineté, 302 ; preuves, 302.

SÉGOVIE, son bel aqueduc, XX, 272 ; description de la ville et du château, 272.

SEGRAIS, poëte, élevé chez Mlle de Montpensier, meurt fort vieux, III, 153.

SÉGUIER (le chancelier), par sa conduite politique, lors des intelligences de la reine, femme de Louis XIII, avec l’Espagne, s’assure pour toujours la faveur de cette princesse, I, 70.

SÉGUR, capitaine de gendarmerie, a une jambe emportée à la bataille de Marsaille, I, 107 ; est nommé gouverneur du pays de Foix ; sa galanterie ; son amour pour l’abbesse de la Joye ; quel en est le résultat, III, 185 ; les deux fils de M. de Ségur, 186.

SÉGUR, maître de la garde-robe de M. le duc d’Orléans, épouse la bâtarde non reconnue de ce prince et de la comédienne Desmares ; obtient la survivance du pays de Foix qu’avait son père, XVII, 38.

SEIGNELAY, fils du ministre et secrétaire d’État, maître de la garde-robe du roi, épouse une fille de la princesse de Fürstemberg, VI, 159 ; sa mort, X, 163 ; jalousie de Louvois contre lui, XI, 502.

SEIGNELAY (Mme de), son portrait physique et moral, I, 302 ; outrée d’avoir été rebutée par M. de Luxembourg, elle se marie avec M. de Marsan, 303.

SEIGNELAY (l’abbé de), troisième fils du ministre secrétaire d’État ; épouse la fille de Walsassine, officier général de la maison d’Autriche, et en secondes noces une fille de Biron, XIV, 208.

SEIGNELAY-WALSASSINE (Mme de), meurt en couches ; son mari vend au roi la belle bibliothèque de Colbert son grand-père, XVII, 143.

SEISSAC (M. de), grand maître de la garde-robe du roi, épouse dans sa vieillesse la jeune sœur du duc de Chevreuse ; sa richesse ; son adresse au jeu inspire de la défiance, II, 112 ; exemple de cette adresse, 112 ; il reçoit ordre de quitter sa charge et de s’en aller chez lui ; Monseigneur et Monsieur obtiennent plus tard la permission que Seissac puisse jouer avec eux ; ses singularités ; son aversion pour le deuil ; à sa mort personne ne le porte pour lui, 103 ; IV, 436.

SELVE (le chevalier de), commandant à Saint-Venant, fait des sorties sur les ennemis, VIII, 362 ; est forcé de capituler, 363.

SENECEY (Mme de), dame d’honneur de la reine ; est exilée ; pourquoi, I, 70 ; est ensuite rétablie ; la comtesse de Fleix, sa fille, obtient sa survivance ; toutes deux deviennent duchesses, 70 ; voir aussi IV, 195.

SÉNÉCHAL, jusqu’en 1191 le premier des grands officiers de la couronne ; quand supprimés, VII, 409 ; note.

SENOZAN, homme de rien, mais fort riche, épouse la fille de Variville, ancien capitaine de gendarmerie, V, 55.