Page:Saint-Simon - Mémoires, Chéruel, Hachette, 1858, octavo, tome 20.djvu/421

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pour l’attaquer, 273 ; M. du Maine laisse échapper l’occasion et refuse d’engager l’action, 274 ; le maréchal, malgré son dépit, s’excuse auprès du roi en courtisan, 274 ; bombarde Bruxelles ; ne peut secourir Namur, 278 ; accident terrible qui lui arrive à la chasse ; Maréchal, chirurgien fameux, lui fait une double opération qui le guérit, II, 221 ; est nommé pour aller remplacer Catinat en Italie ; surprise à la cour, III, 202 ; paroles que lui adresse M. de Duras, 203 ; il se livre entièrement à M. de Vaudemont, 212 ; reçoit un affront de M. de Savoie, 214 ; sa vanité a beaucoup à souffrir de la présence de Phélypeaux, ambassadeur auprès de M. de Savoie ; pique entre eux, 214 ; est fait prisonnier dans Crémone, 373 ; est envoyé à Gratz en Styrie, 376 ; est remis en liberté, 434 ; l’empereur lui mande qu’il ne veut pas qu’il paye sa rançon qui allait à 50 000 livres, IV, 22 ; mauvais traitements qu’il essuie des Allemands pendant sa prison ; à qui il est redevable de sa liberté sans rançon, 59 ; accueil que lui font le roi et Mme de Maintenon ; le chevalier de Lorraine lui conseille de demander à entrer dans les affaires d’État et de renoncer au commandement des armées ; le maréchal rejette ce conseil ; il est déclaré général de l’armée de Flandre, 59 ; vient à la cour ; comment il est accueilli par le roi, 246 ; retourne à Bruxelles, prend en affection le baron Pallavicin, 248 ; passe la Moselle entre Trèves et Thionville, 291 ; se concerte avec le maréchal Tallard, 291 ; ses hauteurs envers lui causent des scènes ridicules et nuisent aux affaires, 292 ; comment il se laisse tromper par le prince Eugène, 304 ; munit Landau de tout ce qui est nécessaire pour un long siége, 325 ; va commander en Flandre, V, 6 ; sa fatuité à l’égard de Mme de Vaubecourt dont il est amoureux, 18 ; il chasse les ennemis au delà de la Dyle, 36 ; revient à la cour ; accueil qu’il y reçoit, 77 ; le roi renouvelle pour lui le don qu’il lui a déjà fait de 300 000 livres à prendre sur les octrois de Lyon, 118 ; pouvoir qu’a le maréchal dans cette ville, 119 ; naïveté de Dangeau à ce sujet, 119 ; Villeroy retourne en Flandre avec ordre d’ouvrir la campagne par une bataille, mais non avant d’avoir rejoint Marsin, 171 ; nonobstant ce dernier ordre, il se décide à attaquer l’ennemi dans un poste où M. de Luxembourg n’avait jamais voulu s’exposer à combattre, 172 ; bataille de Ramillies, 173 ; la maison du roi et les escadrons rouges y font une charge vigoureuse, 174 ; le maréchal y montre du courage ; mais il est obligé à la retraite, 175 ; Bruxelles, Anvers, Malines et Louvain tombent au pouvoir de l’ennemi, 175 ; platitude du maréchal, 176 ; il s’oppose fortement à ce que l’armée reste à Gand et garde le grand Escaut, 177 ; son désespoir lui tourne la tête, 178 ; il reçoit des lettres du roi qui lui conseille de demander sa démission, 179 ; ses réponses au roi, 180 ; il est rappelé, 183 ; son retour à Versailles ; comment il y est reçu ; son abattement ; son embarras, 226 ; autre dégoût qu’il éprouve pour son ami Guiscard, 220 ; sa retraite, avant de paraître à Versailles, dans une petite maison de Paris écartée ; résolutions qu’il y forme et qu’il abandonne bientôt, 350 ; sa conduite envers M. de Chamillart aigrit de plus en plus le roi, 351 ; il défend à son fils de voir le ministre, 354 ; pourquoi il persiste dans cette défense, 356 ; travers d’esprit du maréchal, 356 ; il demande au roi à se démettre de sa charge en faveur de son fils ; l’obtient sur-le-champ, VI, 156 ; il veut s’en aller à Lyon, mais la permission lui est refusée, 157 ; entretient Mme de Maintenon chez elle et à la ville avec le plus grand mystère ; lui fait donner des mémoires par Desmarets sur la campagne de Flandre ; tombe vivement sur M. de Vendôme et Chamillart ; se flatte des plus agréables espérances ; est soutenu par la duchesse de Bourgogne, 359 ; est instruit de tout par son fils, 359 ; comment il redevient le favori du roi par le crédit de Mme de Maintenon, X, 136 et suiv. ; il se rend l’instrument et l’écho de la cabale qui accuse le duc d’Orléans d’être l’auteur de la mort de M. le Dauphin et de Mme la Dauphine, 152 ; obtient du roi la survivance de son gouvernement pour le duc son fils et la lieutenance générale pour le marquis son petit-fils, 264 ; écrit de Villeroy pour demander au roi la permission d’aller apaiser une sédition à Lyon ; en y arrivant il trouve la sédition apaisée, XI, 100 ; est nommé chef du conseil des finances ; obtient pour son fils l’archevêché de Lyon et le commandement dans tout le gouvernement, 217 ; est reçu à Fontainebleau en favori et déclaré ministre d’État, 225 ; son ineptie au conseil d’État, 226 ; ses avances inutiles auprès de M. de Saint-Si-