ou de chapitres courants pour leurs divers traités ; à cette condition, je m’en tire, mais c’est un nouveau genre de travail qui, dans son vague, me donne quelque souci, qui demande lecture, méditation et nécessite une nouvelle mise en train. Vulgairement parlant, j’ai, comme on dit, à me faire le pied à de nouveaux souliers. Quand mon pied y sera rompu, je me remettrai peut-être à marcher plus librement, je l’espère. Mais, dans aucun cas, Princesse, je n’ai pensé, en m’ouvrant à vous avec la franchise que votre bonté tout amicale autorise, et me punir dans les meilleurs et les plus précieux de mes sentiments.
À demain.
Daignez agréer, Princesse, l’expression de mon respectueux attachement.
CII
On est en effet dans un torrent. Sauve qui peut ! J’avais compté sur M. Zeller aujourd’hui,
