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À LA PRINCESSE

celles le petit dîner, et qu’elle jugeait, à réflexion, cela de meilleur goût envers Mme Sand. Je l’aurai chez moi, indépendamment du dîner rue de Courcelles, et avec deux ou trois de ses amis. Je pense que la chose ne souffrira pas de difficulté.

Que de soins ! Ce moment en abonde. J’ai à prier Votre Altesse de m’excuser ces soirs-ci si je fais le mort ou à peu près. Je me trouve en effet indisposé tout de bon. J’ai affaire au docteur, j’espérais que ce serait au chirurgien, et il se trouve que le médecin refuse d’aller vite et me voilà retenu pour plus d’un jour, au moins pour ce qui est de cérémonie. — Je voudrais aller vous offrir mes vœux de jour de l’an à l’heure du déjeuner. Est-ce possible sans indiscrétion ?

Ce pauvre L… est comme une âme en peine : je crois que le mieux serait de l’envoyer tout directement à M. Rouher qu’il connaît. M. Walewski s’était ravisé et l’avait fait appeler par M. Valette, le secrétaire général de la Présidence. La première combinaison me paraît plus avantageuse.

J’offre à Son Altesse tous mes vœux, mes hom-