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III

Lettres à la Princesse est qu’on y sent toujours, à de certains passages caractéristiques, sous forme même d’apologie et avec toutes les apparences de l’adhésion respectueuse, cet aiguillon, ce mordant qui a fait dire un jour à celui qui connaissait bien la nature de son propre talent : « J’ai plus piqué et plus ulcéré de gens par mes éloges que d’autres n’auraient fait par des injures. »


J. T.