Page:Salluste, Dotteville - Traduction de Salluste.djvu/161

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I L’Homme a tort de dire que sa foiblesse & son peu de durée le rendent plus dépendant du hasard, que de ses propres lumieres. Rien, au contraire, si l’on y réfléchit, n’est plus grand par sa nature, ni plus excellent que lui. Ce ne sont ni les forces ni le