Page:Salverte - Essais de traductions, Didot, 1838.djvu/81

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

ce que l’on pense. Je ne me repens pas, néanmoins, de m’être exposé à de telles censures ; je regretterais bien plus d’avoir gardé le silence. Car, soit que tu suives cette voie ou toute autre meilleure, j’aurai parlé, j’aurai agi pour la chose publique, suivant mes facultés. Il ne me reste qu’à faire des vœux pour que les dieux immortels, quelles que soient tes résolutions, les approuvent et les couronnent d’un heureux succès.



Séparateur