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AU JARDIN DE L’INFANTE


Des cœurs flétris ! Des cœurs meurtris ! Larmes et luttes
Quand tu peux, dans un ciel de lyres et de flûtes,
Épanouir ton âme exquise en rêves-fleurs...



Au-dessus de la terre acharnée et falote,
La Vie est comme un grand violon qui sanglote...
Ô mon cœur, laisse-moi m’envelopper d’ailleurs.