Scène IV.
Eh bien, j’ai vu Dubourg, je… (Voyant la marquise, il jette un cri.) Ah !
C’est lui, madame, c’est mon cousin le peintre… votre locataire… et, puisque vous avez des ordres à lui donner, le voilà pour les recevoir.
Si vous me trouvez installée chez vous en votre absence, monsieur, ne vous en prenez qu’à M. Marcel. Je me plaisais à regarder vos œuvres.
C’est-à-dire qu’elle ne les regardait pas du tout.
Et, puisque nous voici en présence, pourquoi ne vous dirais-je pas que je désire rentrer en possession de ce pavillon ?
Mais… M. Dubourg et moi, nous étions d’accord… Les réparations sont urgentes, il est vrai ; mais, désirant ne pas déménager, je les prends à ma charge, et, dès lors, il est tout à fait indifférent à madame la marquise que j’en sois plus ou moins incommodé.
Oui ; mais…
Permets, Marcel, ceci me regarde.
Alors, monsieur, vous refusez d’accéder à ma demande ?