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Page:Sand - Évenor et Leucippe, Garnier, 1856, tome 2.djvu/54

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chèrent en eaux ruisselantes. Ce ne fut pas non plus en un jour qu’elles se retirèrent d’une partie de sa surface. Nul de nous ne vit ce déluge dont les déluges subséquents et partiels n’ont pu nous donner qu’une faible idée. Ceux que vous verrez peut-être n’en approcheront point, ou bien la race humaine y disparaîtra tout entière.

Il y eut donc ici-bas un âge, c’est-à-dire une incommensurable phase de temps,