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Page:Sand - Évenor et Leucippe, Garnier, 1856, tome 3.djvu/216

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sont là, c’est que, morte ou vivante, celle qu’ils aiment y est aussi. »

Ils pénétrèrent dans les cavernes et y trouvèrent la dive étendue sur une cendre blanchâtre, éclairée par les livides reflets d’un jour bleu dont le foyer ne semblait être nulle part. En approchant davantage, ils virent que ce pâle rayonnement émanait d’elle, et ils contemplèrent son visage immobile et ses yeux éteints. Leucippe la