Page:Sand - Adriani.djvu/69

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sir et la liberté. C’est l’officieuse Muiron qui, depuis ces trois mois, s’est chargée de mentir en écrivant à la belle-mère que sa bru avait à s’occuper de sa propriété du Temple, qu’elle s’en occupait, que cela lui faisait du bien, ajoutant chaque semaine qu’elle en avait encore pour une semaine. Mais toutes ces semaines tirent à leur fin, non pas tant parce que la belle-mère s’inquiète là-bas, que parce que la Muiron s’ennuie ici.

Pourtant, depuis deux jours, les choses ont changé de face comme je te le dirai demain, car je m’aperçois que je t’écris un volume, qu’il est tard, et que tu peux te reposer, ainsi que moi, sur ce premier chapitre.