mante réunion. Défense d’y parler affaires et procès surtout. Ce sera l’adieu éternel que j’adresserai à mes amis, si je suis déboutée de ma demande.
En attendant, j’aurai fait mon livre. J’irai à Paris après mon procès jugé. Au revoir donc ; donnez-moi de vos nouvelles si vous en avez le temps. Envoyez-moi ces lithographies et dites à Vinçard que je lui donne une grosse poignée de main.
CXXXII
AU RÉDACTEUR DU JOURNAL DE L’INDRE
Un oracle dont la signature ne trahit pas l’incognito attaque brutalement, dans le feuilleton de votre journal, la moralité de mes livres. J’abandonne à la critique tous mes défauts littéraires et toutes les obscurités de mon raisonnement. Mais, dans cette province, ma patrie d’adoption, je défends à tout adulateur des abus de la société de me choisir pour holocauste, lorsqu’il lui plaît d’offrir un hommage aux puissances qu’il veut se rendre favorables, soit pour se faire un nom à défaut de talent, soit pour obtenir