d’ici des bravos et des poignées de main en attendant qu’on vous les porte.
CDLI
À M. CHARLES-EDMOND, À PARIS
Ce changement de titre me contrarie : je n’aime pas à céder sans savoir pourquoi. Mais c’est accompli, n’en parlons plus. Ce à quoi je ne puis céder, c’est à laisser couper mes feuilletons en deux. Pour cela, non, non, non ! Dites-le, et avertissez que, si on ne se conforme pas aux conventions que vous avez faites avec moi, j’aime mieux que l’on me rende toute parole et le manuscrit. Je ne tiens pas a écrire dans les journaux, bien au contraire ! Les feuilletons conviennent mal à ma manière et m’ôtent la moitié du succès que j’ai dans les revues et en volume. Il n’y a pas assez d’accidents et de surprises dans mes romans pour que le lecteur s’amuse au déchiquetage de l’attente. Ce roman-ci, particulièrement, a besoin d’être lu par chapitres comme ils sont chiffrés et coupés, pas autrement.
Donc, maintenez votre autorité et mon droit, ou